Politique

Politique

  • Un an et demi à l’Elysée, et déjà une ambiance de fin de règne

    Un an et demi à l’Elysée, et déjà une ambiance de fin de règne

    Article rédigé par Mediapart, le 29 septembre 2018

    Thème : Politique

    Source [Mediapart] Affaires Benalla et Kohler, démissions « surprises » ou annoncées de poids lourds du gouvernement, critiques publiques et dysfonctionnements à tous les étages... Emmanuel Macron est plus affaibli que jamais. L’inquiétude gagne son entourage, où rares sont ceux à nier les évidences : il y a un problème et il concerne le président de la République lui-même.

  • Donald Trump à l’ONU : « Nous rejetons l’idéologie du mondialisme et nous épousons la doctrine du patriotisme »

    Donald Trump à l’ONU : « Nous rejetons l’idéologie du mondialisme et nous épousons la doctrine du patriotisme »

    Article rédigé par RT France, le 28 septembre 2018

    Thème : Politique

    Source [RT France] « Les Etats-Unis ne vous diront pas comment vous devez vivre et travailler ou pratiquer votre religion », a déclaré le président de la superpuissance mondiale à l’Assemblée générale de l’ONU dans un discours qui représentait une vraie rupture avec la doctrine des précédents présidents américains, « Nous vous demandons seulement de respecter notre souveraineté en retour ». 

  • Décision de justice sur les assistants d'eurodéputés FN : Marine Le Pen dénonce une «peine de mort»

    Décision de justice sur les assistants d'eurodéputés FN : Marine Le Pen dénonce une «peine de mort»

    Article rédigé par RT France, le 10 juillet 2018

    Thème : Politique

    Source [RT France] Les juges français ont retenu, dans le cadre de l'affaire des assistants présumés fictifs d'eurodéputés FN, deux millions d'euros d'aides publiques que devait toucher le Rassemblement national. Marine Le Pen déplore un assassinat politique.

  • Le gouvernement  italien éjecté par le Président de la République

    Le gouvernement italien éjecté par le Président de la République

    Article rédigé par Boulevard Voltaire, le 30 mai 2018

    Thème : Politique

    Source [Boulevard Voltaire] Un président de la République non élu par les citoyens vient d’interdire un gouvernement élu par le peuple. 

  • Le président italien torpille la formation d'un gouvernement

    Le président italien torpille la formation d'un gouvernement

    Article rédigé par Le Salon Beige, le 28 mai 2018

    Thème : Politique

    Source [Le Salon Beige] Pressenti pour former un gouvernement, Giuseppe Conte s'est heurté au veto du président Sergio Mattarella (photo), qui a refusé la nomination de l'eurosceptique Paola Savona au ministère de l'Économie. Le professeur Conte a pris acte de ce refus en renonçant à former un gouvernement.

    Devant l'impasse, le Président Mattarella a déclaré qu'il n'envisageait pas d'organiser des élections avant d'avoir obtenu un «vote clair» du Parlement. Aussi a-t-il convoqué pour lundi matin au Quirinal le directeur d'un observatoire sur les comptes publics, l'économiste Carlo Cottarelli, ancien Commissaire à la dépense publique. En 1988, il travaillait pour le FMI... Il devrait le charger de constituer un gouvernement «neutre». S'il n'a, à première vue, aucune chance d'obtenir la confiance du Parlement, il pourrait expédier les affaires courantes et organiser de nouvelles élections pour l'automne prochain.

    La Ligue et le M5S ont accusé le chef de l'État de trahir le vote des Italiens. Matteo Salvini, patron de La Ligue, a accusé le chef de l'État d'avoir «injustement barré la route à un homme qui avait pour seul tort d'avoir trop défendu les intérêts des Italiens».

    "Nous ne serons plus jamais les larbins de personne. L'Italie n'est pas une colonie, nous ne sommes pas les esclaves des Allemands ou des Français, du spread (l'écart entre les taux d'emprunt à dix ans allemand et italien, ndlr) ou de la finance". "Les Italiens d'abord. Moi je ne lâche rien".

    Luigi Di Maio, patron du M5S, a parlé d'un choix «incompréhensible» de la part du président Mattarella:

    «L'Italie est souveraine. On ne peut empêcher un gouvernement du changement. Je suis très en colère.» "Nous étions prêts à gouverner et on nous a dit non, parce que le problème est les que les agences de notation dans toute l'Europe étaient inquiètes à cause d'un homme qui allait devenir ministre de l'Economie". "Alors disons-le clairement qu'il est inutile d'aller voter, puisque les gouvernements ce sont les agences de notation, les lobbies financier et bancaire qui les font. Toujours les mêmes".

    D'après les derniers sondagesde nouvelles élections pourraient profiter à la Ligue, qui a remporté 17% des voix en mars, tandis que le M5S consoliderait sa base, mais ne permettraient pas de sortir de l'impasse.

    Pressenti pour former un gouvernement, Giuseppe Conte s'est heurté au veto du président Sergio Mattarella (photo), qui a refusé la nomination de l'eurosceptique Paola Savona au ministère de l'Économie. Le professeur Conte a pris acte de ce refus en renonçant à former un gouvernement.

    Devant l'impasse, le Président Mattarella a déclaré qu'il n'envisageait pas d'organiser des élections avant d'avoir obtenu un «vote clair» du Parlement. Aussi a-t-il convoqué pour lundi matin au Quirinal le directeur d'un observatoire sur les comptes publics, l'économiste Carlo Cottarelli, ancien Commissaire à la dépense publique. En 1988, il travaillait pour le FMI... Il devrait le charger de constituer un gouvernement «neutre». S'il n'a, à première vue, aucune chance d'obtenir la confiance du Parlement, il pourrait expédier les affaires courantes et organiser de nouvelles élections pour l'automne prochain.

    La Ligue et le M5S ont accusé le chef de l'État de trahir le vote des Italiens. Matteo Salvini, patron de La Ligue, a accusé le chef de l'État d'avoir «injustement barré la route à un homme qui avait pour seul tort d'avoir trop défendu les intérêts des Italiens».

    "Nous ne serons plus jamais les larbins de personne. L'Italie n'est pas une colonie, nous ne sommes pas les esclaves des Allemands ou des Français, du spread (l'écart entre les taux d'emprunt à dix ans allemand et italien, ndlr) ou de la finance". "Les Italiens d'abord. Moi je ne lâche rien".

    Luigi Di Maio, patron du M5S, a parlé d'un choix «incompréhensible» de la part du président Mattarella:

    «L'Italie est souveraine. On ne peut empêcher un gouvernement du changement. Je suis très en colère.» "Nous étions prêts à gouverner et on nous a dit non, parce que le problème est les que les agences de notation dans toute l'Europe étaient inquiètes à cause d'un homme qui allait devenir ministre de l'Economie". "Alors disons-le clairement qu'il est inutile d'aller voter, puisque les gouvernements ce sont les agences de notation, les lobbies financier et bancaire qui les font. Toujours les mêmes".

    D'après les derniers sondagesde nouvelles élections pourraient profiter à la Ligue, qui a remporté 17% des voix en mars, tandis que le M5S consoliderait sa base, mais ne permettraient pas de sortir de l'impasse.

    Pressenti pour former un gouvernement, Giuseppe Conte s'est heurté au veto du président Sergio Mattarella (photo), qui a refusé la nomination de l'eurosceptique Paola Savona au ministère de l'Économie. Le professeur Conte a pris acte de ce refus en renonçant à former un gouvernement.

    Devant l'impasse, le Président Mattarella a déclaré qu'il n'envisageait pas d'organiser des élections avant d'avoir obtenu un «vote clair» du Parlement. Aussi a-t-il convoqué pour lundi matin au Quirinal le directeur d'un observatoire sur les comptes publics, l'économiste Carlo Cottarelli, ancien Commissaire à la dépense publique. En 1988, il travaillait pour le FMI... Il devrait le charger de constituer un gouvernement «neutre». S'il n'a, à première vue, aucune chance d'obtenir la confiance du Parlement, il pourrait expédier les affaires courantes et organiser de nouvelles élections pour l'automne prochain.

    La Ligue et le M5S ont accusé le chef de l'État de trahir le vote des Italiens. Matteo Salvini, patron de La Ligue, a accusé le chef de l'État d'avoir «injustement barré la route à un homme qui avait pour seul tort d'avoir trop défendu les intérêts des Italiens».

    "Nous ne serons plus jamais les larbins de personne. L'Italie n'est pas une colonie, nous ne sommes pas les esclaves des Allemands ou des Français, du spread (l'écart entre les taux d'emprunt à dix ans allemand et italien, ndlr) ou de la finance". "Les Italiens d'abord. Moi je ne lâche rien".

    Luigi Di Maio, patron du M5S, a parlé d'un choix «incompréhensible» de la part du président Mattarella:

    «L'Italie est souveraine. On ne peut empêcher un gouvernement du changement. Je suis très en colère.» "Nous étions prêts à gouverner et on nous a dit non, parce que le problème est les que les agences de notation dans toute l'Europe étaient inquiètes à cause d'un homme qui allait devenir ministre de l'Economie". "Alors disons-le clairement qu'il est inutile d'aller voter, puisque les gouvernements ce sont les agences de notation, les lobbies financier et bancaire qui les font. Toujours les mêmes".

    D'après les derniers sondagesde nouvelles élections pourraient profiter à la Ligue, qui a remporté 17% des voix en mars, tandis que le M5S consoliderait sa base, mais ne permettraient pas de sortir de l'impasse.

    Pressenti pour former un gouvernement, Giuseppe Conte s'est heurté au veto du président Sergio Mattarella (photo), qui a refusé la nomination de l'eurosceptique Paola Savona au ministère de l'Économie. Le professeur Conte a pris acte de ce refus en renonçant à former un gouvernement.

    Devant l'impasse, le Président Mattarella a déclaré qu'il n'envisageait pas d'organiser des élections avant d'avoir obtenu un «vote clair» du Parlement. Aussi a-t-il convoqué pour lundi matin au Quirinal le directeur d'un observatoire sur les comptes publics, l'économiste Carlo Cottarelli, ancien Commissaire à la dépense publique. En 1988, il travaillait pour le FMI... Il devrait le charger de constituer un gouvernement «neutre». S'il n'a, à première vue, aucune chance d'obtenir la confiance du Parlement, il pourrait expédier les affaires courantes et organiser de nouvelles élections pour l'automne prochain.

    La Ligue et le M5S ont accusé le chef de l'État de trahir le vote des Italiens. Matteo Salvini, patron de La Ligue, a accusé le chef de l'État d'avoir «injustement barré la route à un homme qui avait pour seul tort d'avoir trop défendu les intérêts des Italiens».

    "Nous ne serons plus jamais les larbins de personne. L'Italie n'est pas une colonie, nous ne sommes pas les esclaves des Allemands ou des Français, du spread (l'écart entre les taux d'emprunt à dix ans allemand et italien, ndlr) ou de la finance". "Les Italiens d'abord. Moi je ne lâche rien".

    Luigi Di Maio, patron du M5S, a parlé d'un choix «incompréhensible» de la part du président Mattarella:

    «L'Italie est souveraine. On ne peut empêcher un gouvernement du changement. Je suis très en colère.» "Nous étions prêts à gouverner et on nous a dit non, parce que le problème est les que les agences de notation dans toute l'Europe étaient inquiètes à cause d'un homme qui allait devenir ministre de l'Economie". "Alors disons-le clairement qu'il est inutile d'aller voter, puisque les gouvernements ce sont les agences de notation, les lobbies financier et bancaire qui les font. Toujours les mêmes".

    D'après les derniers sondagesde nouvelles élections pourraient profiter à la Ligue, qui a remporté 17% des voix en mars, tandis que le M5S consoliderait sa base, mais ne permettraient pas de sortir de l'impasse.

  • Hongrie : largement plébiscité, Orban se félicite de sa «victoire historique» aux législatives

    Hongrie : largement plébiscité, Orban se félicite de sa «victoire historique» aux législatives

    Article rédigé par RT France, le 09 avril 2018

    Thème : Politique

    Source [RT France] Le Premier ministre hongrois sortant a été reconduit pour la troisième fois consécutive par ses concitoyens, qui valident ainsi sa politique de droite dure, à la faveur d'une croissance en hausse et d'un chômage en baisse.

  • Il y a vingt ans, le 20 mars 1998, la droite décidait d'abandonner la France à la gauche

    Il y a vingt ans, le 20 mars 1998, la droite décidait d'abandonner la France à la gauche

    Article rédigé par Le Salon Beige, le 21 mars 2018

    Thème : Politique

    Source [Le Salon Beige] En ce 20 mars 2018, LyonMag revient sur l’élection de Charles Millon le 20 mars 1998 avec les voix des élus régionaux du FN, évènement qui entraîna sa suspension immédiate de l'UDF et ferma définitivement toute possibilité d'une union intelligente des droites. Jacques Chirac et les leaders de l'époque, dont Alain Juppé, portent une responsabilité écrasante dans cette capitulation face au terrorisme intellectuel de la gauche et de la bien-pensance.

  • Soupçons de financement libyen de la campagne de 2007 : Nicolas Sarkozy placé en garde à vue

    Soupçons de financement libyen de la campagne de 2007 : Nicolas Sarkozy placé en garde à vue

    Article rédigé par Atlantico, le 20 mars 2018

    Thème : Politique

    Source [Atlantico] D’après "Le Monde", l'ancien chef de l’Etat est actuellement entendu par la police judiciaire à Nanterre.

  • L'alliance à droite sur un projet commun se fera selon JF. Poisson

    L'alliance à droite sur un projet commun se fera selon JF. Poisson

    Article rédigé par Jean-Frédéric Poisson, le 14 mars 2018

    Thème : Politique

    Source [Le Salon Beige] Alliance à droite : "Nous devons essayer de faire émerger un mouvement large et clair pour rassembler (...) Si ça doit aller des Républicains au Front National ou des gens qui viennent du Front National, ce sera très bien" estime Jean-Frédéric Poisson.

  • Vladimir Poutine: détesté des Occidentaux, adoré en Russie

    Vladimir Poutine: détesté des Occidentaux, adoré en Russie

    Article rédigé par La Presse , le 12 mars 2018

    Thème : Politique

     Source [La Presse] Il est abhorré des Occidentaux, accusé d'annexer les terres des uns et d'interférer dans les élections des autres. Mais en Russie, Vladimir Poutine reste un président aimé et soutenu, certain de remporter le 18 mars un nouveau mandat.

  1. 94
  2. 95
  3. 96
  4. 97
  5. 98
  6. 99
  7. 100
  8. 101
  9. 102
  10. 103
  11. 104
  12. 105
  13. 106
  14. 107
  15. 108
  16. 109
  17. 110
  18. 111
  19. 112
  20. 113
  21. 114
  22. ...
  23. 158
suivez-nous sur les réseaux sociaux