Politique
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Nicolas Sarkozy : choses promises...
Thème : Politique et Bien commun
Que fera le nouveau président de son triomphe ? Derrière sa posture de rassembleur, ce sont ses choix concrets qui permettront de savoir s'il entend vraiment rompre avec l'idéologie soixante-huitarde.
"Je ne vous décevrai pas !" La formule est à double tranchant.
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Après l'élection, tout reste à faire
Thème : Politique et Bien commun
Les conditions de la victoire de Nicolas Sarkozy changent la donne politique. Mais rien n'est joué pour la France. L'avenir de notre pays ne dépend pas des talents d'un homme.
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Résultats de l'élection présidentielle
Thème : Politique et Bien commun
Voici les résultats de l'élection présidentielle du 16 mai 2007 fournis par le ministère de l'Intérieur, et comparés aux résultats de l'élection de 2002.
On notera en particulier l'augmentation très sensible du nombre de votants, et la baisse, sensible, du nombre d'abstentions, et de votes blancs et nuls.
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Une belle victoire, de sérieux obstacles
Thème : Politique et Bien commun
La victoire de N. Sarkozy est sans bavure : devançant Ségolène Royal de 2,2 millions de voix et de 6 points, elle est du même ordre de grandeur que celle de François Mitterrand en 1988.
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Ferveur et inquiétude : réflexions d'entre-deux tours
Thème : Politique et Bien commun
Le premier tour des élections présidentielles de 2007 a été marqué par deux données majeures : 1/ un taux de participation exceptionnel, suite d'une campagne suivie avec un intérêt vif et anxieux par l'immense majorité des Français ; 2/ la chute sinon l'effondrement du Front national et la relative marginalisation des petits candidats, dont Philippe de Villiers, Marie-Georges Buffet, la candidate du parti communiste — lequel a sans doute terminé en 2007 son parcours historique —, Arlette Laguiller et les candidats écologistes.
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Morale et moralisme en politique : un bref rappel
Thème : Politique et Bien commun
Le respect des "valeurs" a émaillé le débat entre catholiques français durant la campagne de l'élection présidentielle. C'est heureux, tant la perte des finalités obscurcit aujourd'hui les esprits dominés par le souci du "faire" et le suivisme de l'opinion.
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Voter dimanche...
Thème : Politique et Bien commun
Au terme d'une campagne électorale très longue puisque sa phase active aura duré plus d'un an, primaires comprises, trois conclusions peuvent déjà être tirées qui resteront valables quel que soit le résultat du second tour : le renouvellement ; un vrai choix entre deux modèles ; le contournement des valeurs essentielles.
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Les options légitimes d'un vote en conscience
Thème : Politique et Bien commun
Quelle est la latitude de vote de l'électeur chrétien quand aucun des candidats qui se présentent à ses suffrages, sinon au premier tour du moins au second, ne semble s'inscrire dans la perspective d'un redressement moral ? Précisément, peut-on voter pour un candidat dont l'élection peut présager d'autres attentats aux "valeurs non négociables" qui fondent la vie commune comme le respect de la vie humaine, la protection du mariage ou la liberté d'éducation ? Un authentique débat s'est noué à ce sujet entre les catholiques français autour de l'interprétation de la Note doctrinale de la Congrégation de la doctrine de la foi de novembre 2002.
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Présidentielle : la dynamique du 1er tour surmontera-t-elle les inconnues du 2e tour ?
Thème : Politique et Bien commun
Huit millions huit cent mille électeurs de plus qu'en 2002 se sont exprimés dimanche dernier ! Non seulement le nombre d'inscrits s'est accru de plus de trois millions d'un scrutin présidentiel à l'autre, mais la participation n'a jamais été aussi forte depuis quarante ans, ni le nombre de bulletins blancs aussi faible.
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Présidentielle, 1er tour : les catholiques réguliers s'enracinent à droite
Thème : Politique et Bien commun
Plus ils sont pratiquants, plus les catholiques votent à droite. C'est le résultat d'un sondage, réalisé dimanche à la sortie des urnes par le CSA pour La Croix, qui le confirme : 37 % des Français interrogés se déclarant catholiques ont voté pour Nicolas Sarkozy, 20 % ont choisi François Bayrou, et 29 % d'entre eux ont soutenu un candidat de gauche.