Editorial
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Dernière ligne droite avec Liberté politique !
Voici notre dernier éditorial de l’année, il sera court. 2023 aura été une année bien remplie pour Liberté Politique et nous nous attelons désormais à préparer 2024. Après un exercice bien chargé et des changements dans la continuité, Liberté Politique s’engage dans une année qui s’annonce riche en événements.
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Joyeux Noël !
Toute l’équipe de Liberté politique vous souhaite un Joyeux Noël !
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Le droit contre le peuple
Les difficultés rencontrées pour mettre en place des mesures pourtant anecdotiques dans le cadre de la loi immigration illustrent une donnée essentielle du combat politique des années à venir. Partout où la gauche et son idéologie reculent, les tenants de l’ordre établi se cachent derrière l’État de droit, la Constitution et in fine derrière des tribunaux souvent acquis à leur cause.
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La natalité, l’oubliée volontaire
Le vote de la loi immigration, chemin de croix pour la majorité et véritable champ de bataille pour les oppositions, relève d’un débat éculé et déformé. La question est généralement abordée de manière sentimentale et économique. Il est donc question d’accueil de l’autre et de nécessité de main-d’œuvre. Jamais n’est cependant évoqué un facteur majeur dans le fait migratoire : le déficit de natalité autochtone.
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Le « monde multipolaire suspendu » à l’avenir des Etats-Unis
Le désir d’un monde multipolaire débarrassé de la direction étasunienne est partagé par beaucoup de pays mais aussi de personnes qui ne croient pas dans le bien-fondé de la domination de Washington dans l’ordre international.
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Dissolution d’Academia Christiana : Darmanin, le petit poucet pousse au crime
En annonçant la dissolution de l’association Academia Christiana, le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin confirme une nouvelle atteinte aux libertés politiques en France. Il s’agit de la 36ème dissolution depuis le début de l’ère Macron.
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Immédiateté : la grande accélération du temps
Dans un ouvrage paru en 2022, le philosophe Christophe Bouton développe l’idée selon laquelle nos sociétés modernes sont marquées par une accélération de leur histoire. Une idée déjà développée par Daniel Halévy en 1948 et qui semble prendre tout son sens dans les temps que nous vivons.
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Djihadisme, l’autre menace permanente
À l’attaque au couteau de Crépol a succédé celle de Bir-Hakeim. Deux drames présentant des motivations différentes : un mobile ethnique pour le meurtre du jeune Thomas dans la Drôme et une revendication islamiste pour l’attaque d’un touriste germano-philippin dans le 15ème arrondissement de Paris samedi soir. Ces deux affaires participent cependant d’un climat sécuritaire dégradé qui puise son origine dans un même moule migratoire.
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Des ruptures et des petits pas
Le drame de Crépol (Drôme), caractérisé par l’assassinat d’un jeune Français de 16 ans lors d’une fête de village, a marqué un nouveau palier dans l’ensauvagement du pays. Pour certains, c’est une révélation, pour d’autres c’est la triste confirmation de ce qu’ils constataient ou prévoyaient depuis plusieurs années. Derrière ce drame, beaucoup se demandent s’il s’agit d’une rupture dans l’opinion ou une nouvelle étape dans la prise de conscience.
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Vers un « basculement de la société » ?
De passage à Crépol dans la Drôme où le jeune Thomas a été tué il y a huit jours, le ministre Olivier Véran a été hué et a mis en garde contre le « risque d’un basculement » de la société alors que quelques dizaines de militants nationalistes avaient manifesté samedi soir dans la cité de l’assassin du jeune Français.