Editorial
-
Poussée nationaliste : l’Allemagne dit « Raus » à la gauche immigrationniste et bruxelloise
Les élections locales dans deux Länder allemands de l’Est ont consacré de très bons scores pour les nationalistes de droite de l’Afd et ceux de gauche du BSW. À un an des élections législatives, l’un des deux plus importants pays de l’Union Européenne pourrait connaitre des mutations profondes.
-
Mougins, un drame pour les Français
Le décès d’un gendarme tué par un étranger « connu des autorités » rappelle l’ensauvagement du pays à ceux qui l’auraient oublié pendant la parenthèse estivale.
Les raisons de la mort de l’adjudant Comyn, victime de l’immigration et de la gauche judicaire, ont été expliquées par sa veuve qui n’a pas mâché ses mots lors d’un hommage
-
Malaise identitaire de Paris à Washington
La question « identitaire » n’a de cesse d’être évoquée depuis deux décennies. C’est peut-être l’un des indicateurs les plus impressionnants du déclin occidental. Signe d’une perte de repères, elle recouvre des éléments divers allant des lubies « sociétales » à l’immigration en passant par l’appartenance religieuse.
-
Hôpital : ils n’apprennent rien !
Le récent enthousiasme médiatico-politique autour de la variole du singe, renommée pudiquement MPox, se confronte à l’état désastreux de l’hôpital français et se trouve à l’origine d’une nouvelle chronique du déclin français.
-
Un été d’actualités en continu
Souvent qualifié de maître des horloges par les éditorialistes, le président Macron aura, faute de réussite avec sa trêve olympique, sabordé la trêve estivale et montré qu’à défaut de maîtriser la situation, il était bien capable de pourrir les vacances des Français !
Habituellement considérés comme une période de pause, les deux mois d’été auront maintenu la politique au cœur de l’actualité. De la dissolution au suspense entourant le nom du futur Premier ministre en passant par la récupération permanente des JO, le président aura occupé le terrain.
-
En finir avec les Jeux : ni enthousiasme niais ni hostilité de principe
La séquence Olympique a été une occasion de divertissement pour les amateurs de sport. Un plaisir simple et agréable largement récupéré par une classe politique et médiatique aux abois. Alors que se profile une crise institutionnelle dans le pays, le président va tenter de « capitaliser » sur cet événement et de faire valoir un succès très contestable.
-
JO : et la parenthèse « enchantée » a pris fin
Les Olympiades de Paris 2024 ont pris fin dimanche. Épreuves sportives mythiques, elles ont été mises, comme presque toujours, au service du régime en place. Pour le président, la fin des JO laisse la place à des jeux de pouvoirs pour lesquels il sera difficile de rafler la médaille d’or.
-
Indépendantistes, autonomistes : le retour de bâton ?
La conjoncture économique maussade et l’instabilité économique du pays pourraient relancer les velléités indépendantistes dans plusieurs régions françaises. Alors que les émeutes néo-calédoniennes sont encore dans tous les esprits, d’autres mouvances sécessionnistes tentent de raviver la flamme.
-
Eté : repos, résolutions et nouveaux départs
Nous évoquions il y a quelques jours l’été comme « le temps des camps scouts » ; l’été est aussi une période de repos et d’introspection propice aux bonnes résolutions probablement plus encore que lors du passage à la nouvelle année.
-
Jeux Olympiques : entre patriotisme cocardier et gâchis
Les Olympiades parisiennes ont provoqué un tollé avec leur cérémonie d’ouverture. L’épisode non moins ridicule du nettoyage de la Seine à plus d’un milliard d’euros complète le tableau de Jeux à la fois idéologiquement dégénérés et financièrement coûteux.
En sus de ces misères qui étaient prévisibles s’ajoute une forme de patriotisme autorisé, niais et très convenu.