Source [Le Salon Beige] : Sans élection, les Britanniques ont désormais à leur tête une figure à la fois nouvelle et familière. C’est la continuité de la monarchie.
Lors de sa venue en France en 2014 pour l’anniversaire du débarquement, la reine Elisabeth II avait été littéralement ovationnée. François Hollande, à l’issue de la cérémonie à l’Arc de Triomphe, en compagnie de la reine, aurait confié : «Je n’ai jamais vu tant de monde sur les Champs-Elysées, même le 14-Juillet, ou aux balcons du Faubourg Saint-Honoré !» Et, selon le Figaro, le soir, à la table d’honneur au Palais de l’Elysée, l’ancien ministre Bernard Kouchner aurait lâché, pour répondre au marasme républicain : « Il nous faudrait un roi ».
On se souvient qu’en 2016, la reine Elizabeth II a demandé au gouvernement britannique de cesser la querelle avec la France suite à la lettre que lui avait adressée Nicolas de Villiers au nom du Puy-du-Fou, pour récupérer l’anneau de sainte Jeanne d’Arc.
Hélas en 2013, elle signait la loi dénaturant le mariage, parjurant, selon l’anglican Michael Nazir Ali, son serment devant Dieu. Chef de la communauté anglicane, elle avait juré de “conserver les lois de Dieu”.
Depuis Pie XII, elle a rencontré tous les papes à l’exception de Jean-Paul Ier et de Paul VI, pourtant le plus actif avec les Anglicans. Elle n’était que princesse quand elle salua Pie XII mais elle allait devenir reine, un an plus tard, en 1951.
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