La gangrène de l'Islamo-gauchisme gagne l'université de Grenoble

Source [Riposte Laïque] C’est toute l’équipe de direction de l’université de Grenoble qui est atteinte par l’islamo-gauchisme, à commencer par sa directrice, Sabine Saurugger, qui a pris le parti des égorgeurs, des égorgeurs d’enseignants, des égorgeurs du savoir, des égorgeurs de la civilisation d’Occident.

Le Dauphiné nous rapporte que l’engeance qui dirige cette université – mais le mot « université » n’est-il pas usurpé, ne doit-on pas plutôt parler de camp d’endoctrinement et de soumission qui n’a rien à envier aux camps de rééducation chinois ? – a adressé une mise en garde à l’un des deux professeurs en cause et considéré que les deux avaient tenus des propos problématique sur l’islam. Ainsi ce sont les promis à l’égorgement par l’UNEF islamo-gauchiste qui a livré leurs noms aux gestapos musulmanes et leurs sicaires équarisseurs de pensées déviantes pour le Coran qui sont coupables pour la direction de l’établissement !

Que les deux victimes promises à l’égorgement soient désignées comme fautives par l’équipe de direction de cette université en dit long sur la peste islamique qui gangrène jusqu’aux plus hauts rouages de tout l’appareil administratif français.

Il est bien clair que l’affaire Samuel Paty est appelée à se renouveler régulièrement maintenant que les postes décisionnels des administrations semblent désormais avoir pris langue, fait et cause pour les dictats du Coran.

Le professeur Kintzer, l’un des deux enseignants livrés aux Khmers rouge-coran de la gauche-écolo grenobloise avait déjà signalé que, dans le corps professoral, une majorité de ses coreligionnaires lui a adressé des marques de haine pour avoir fait naître une vérité qu’il leur est insupportable d’entendre.
Normal, c’est un réflexe vieux comme le monde, les deux professeurs qui ont eu le courage de lancer les alertes médiatiques ont dans le même temps renvoyé la majorité de leurs collègues et toute l’équipe de direction de l’IEP Grenoble, sa directrice en tête de gondole, à leur état de soumission, de servilité et de déshonneur.

Quand on se prétend progressiste de vertu et droit-de-l’hommiste comme aiment à se présenter la plupart des enseignants de ce pays, apercevoir dans le miroir qui renvoie votre image la silhouette d’une ordure prête à donner à l’égorgement son proche voisin de salles de profs ne peut que conduire à un anéantissement de l’estime de soi qui pourrait conduire par effet d’entraînement à l’hystérie.
La haine déployée par l’équipe de direction et les collègues des deux profs désignés comme personnes à abattre n’est que la résultante de l’image insupportable que ces dénonciateurs-délateurs commencent à se faire d’eux-mêmes.

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