Editorial
Editorial
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PMA : une suite bien logique...
François Billot de Lochner commente, dans cette vidéo, l'avis du Comité consultatif national d'éthique relatif à la PMA et les suites prévisibles du maintien de la loi Taubira dénaturant l'institution du mariage.
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Une nouvelle chambre introuvable
Ça y est ! La claque est passée et nous sommes cordialement invités à nous rendormir pour 5 ans, laissant nos admirables « représentants » nous « coocooner » avec constance et abnégation.
C’est à peu près ce que j’ai compris du discours des médias dominants. Cependant, n’ayant pas précisément un « bon esprit », je ne suis pas très disposé à obtempérer.
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Il n’en reste pas moins que la gauche l’emporte
Inutile de nous bercer de remarques lénifiantes : le premier tour des élections législatives confirme que la droite française est entrée dans une spirale infernale de déclin et, par conséquent, la France accumule les mauvaises nouvelles électorales. Car, si nous sommes électeurs de droite, ce n’est pas par esprit de parti, mais parce que nous jugeons – avec de solides raisons à l’appui – que la gauche est néfaste pour le pays.
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La nécessaire levée de la droite de conviction !
Dans l’actuelle campagne législative, les candidats de la droite de conviction sont accusés de diviser leur propre camp, que Les Républicains entendent représenter. Honnêtement, qui ose encore penser que ceux-ci sont une force politique unie, cohérente, de droite, s’opposant résolument aux candidats de La République en Marche ?
Sur la plupart des grands sujets, Les Républicains ne représentent plus les aspirations de leur électorat, ne militent pas pour les mesures indispensables au redressement de la France. En outre, ils s’allient massivement aux macronistes.
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Une candidature de la "vraie droite"
François Billot de Lochner expose, dans une courte vidéo, les raisons de sa candidature aux élections législatives dans la 1ère circonscription des Yvelines.
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Besoin d'une droite de convictions
Force est de le constater, les partis dits « de droite » ont mené la France à son stade actuel, c’est-à-dire au bord de la catastrophe. La Fondation de Service politique et le collectif France Audace ont œuvré de toutes leurs forces pour tenter d’enrayer la chute de la Maison France, mais le résultat est là : cette chute est impressionnante, et nous avons le devoir d’agir pour l’enrayer.
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Pour une vraie droite de gouvernement
Il est difficile, à l’heure qu’il est, de savoir à quoi ressemblera la prochaine législature. Le plus vraisemblable est que la majorité absolue revienne à un vaste parti centriste, allant de Manuel Valls à Alain Juppé, en passant par les élus Modem, UDI et « En Marche ». Mais le dosage au sein de cette majorité est, à ce jour, assez flou.
Ne serait-ce que parce que « En Marche » rebat les cartes et que bon nombre de ses élus seront, en réalité, d’anciens élus PS ou LR. Il faudra donc regarder, nom par nom, qui arrive au Palais Bourbon pour savoir qui du centre-droit ou du centre-gauche y sera majoritaire.
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Quel avenir pour la droite ?
Pour que la droite puisse revenir aux affaires, une condition s’impose, mais une inquiétude surgit devant nous.
La condition qui s’impose est que la droite se recompose de façon très simple : un Front National revendiquant désormais un souverainisme de droite, et rompant donc avec son aile gauchisante qui le rend peu lisible ; un parti conservateur axé sur les valeurs, regroupant l’aile droite des Républicains et une partie des sympathisants du Front National ; un parti libéral de centre-droit, correspondant grosso modo à l’aile centriste ou de centre-gauche des Républicains.
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Reconstruire la droite française
Au lendemain de cette campagne présidentielle inédite, la droite française est en miettes.
En miettes électorales, d’abord. Après 5 ans de socialisme, plus de la moitié des suffrages se sont reportés sur des candidats de gauche – alors même que toutes les études d’opinion montrent que la droite est largement majoritaire.
Plus grave encore pour l’avenir, la « droite de gouvernement » n’a même pas réuni 20 % des suffrages exprimés.
Cela en dit long sur le peu de confiance que les électeurs de droite ont dans leurs « représentants ».
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Un second tour historique
À l’avant-veille d’un deuxième tour aux allures de choix historique entre deux France, nous vous rappelons les notations des deux candidats à la présidentielle, concernant leurs positions sur les mesures indispensables au redressement de la France, développées dans Le Manifeste que nous leur avons envoyé.
Ces mesures ont fait l’objet d’un sondage récent Ifop-Liberté politique, qui conforte leur bien-fondé.
Au terme d’une campagne atypique et chahutée, ce baromètre souhaite informer le plus objectivement possible sur les orientations politiques, économiques, sociales, morales et culturelles des deux candidats, afin que les électeurs puissent voter en pleine connaissance et conscience.
Les programmes des deux candidats sont en opposition sur les mesures politiques, morales et culturelles que nous proposons. D’où l’écart considérable constaté dans les notes globales.