Editorial
Editorial
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Brume et brouillard sur 2017.
Au sortir de l’été, force est de constater que les Français sont pour le moins perplexes quant aux élections de 2017. Les discussions menées sur le sujet aboutissent très généralement aux conclusions suivantes : pour les primaires, les candidats qui ont le plus de chance de l’emporter sont ceux qui offrent le moins de chance de redresser la France ; pour la présidentielle, la probabilité d’un duel Hollande-Marine au second tour prend corps, et devrait se conclure par la victoire de Hollande. Désarroi assuré pour tous. Ainsi, une France aux deux-tiers à droite, et qui rejette son président actuel dans des proportions inédites, risque de lui redonner le pouvoir pour cinq ans, afin d’achever la déconstruction de notre pays…
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Moi, moi d’abord, moi seulement !
Ma moto trafiquée traverse le village dans un bruit de tonnerre : j’adore, tant pis pour les villageois ! Mon bébé hurle pendant toute la messe : tout va bien pour moi, tant pis pour tous les fidèles que je gêne ! Ma fille de dix ans se baigne sans maillot de bain : elle préfère, tant mieux pour les voyeurs ! Je néglige mon habillement et ne me rase plus : je me sens tellement mieux, tant pis pour ceux qui aiment le beau ! C’est mon choix, je fais ce que je veux, point final !
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Quand le krach s’éveillera, le monde tremblera !
Le krach financier mondial est là, mais caché, tapi dans les recoins de l’économie mondial, prêt à déferler sur la planète et à tout bousculer sur son passage. D’avance, Il s’en pourlèche les babines : vous avez aimé 2008, vous allez adorer la suite, ricane-t-il. Les économistes, banquiers, financiers, dirigeants politiques le savent, et en font des cauchemars la nuit, mais pour juguler le drame qui s’annonce, ne font rien de leurs journées. Ou plutôt, ne font qu’une chose pour le retarder : faire fonctionner à plein régime la planche à billet, et donc fabriquer de toute pièce de la fausse monnaie. Brillant.
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Les tragiques dénis de réalité islamique.
Le déni de réalité sur l’islamisation accélérée de la France, auquel nous assistons depuis des mois et des années, peut conduire à la mort de notre pays.
Dans la masse des dénis assénés jour après jour, plusieurs d’entre eux sont d’une particulière gravité, car semant la confusion et désarmant les défenseurs de notre civilisation, fondée sur les valeurs chrétiennes :
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Le Coran, arme de guerre ?
Au nom de quoi ? Au nom de quoi des musulmans finalement "ordinaires" passent-ils du côté du Mal absolu, en se livrant à d'atroces et répétitives exécutions ? Au nom de quoi les musulmans de toutes époques et de toutes régions ont-ils soumis, ou soumettent-ils, par la violence la plus extrême, des régions et des populations entières ? Au nom de quoi l'effroyable génocide de 1 500 000 arméniens fut-il perpétré dans des conditions de sauvagerie dépassant l'imagination, et cela au XXème siècle, donc hier ? Tout cela, au nom de quoi ?
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Nicolas et Salah.
Juin 2013. Avenue de la Grande armée, à Neuilly. Une foule joyeuse s’est massée devant le siège de M6, afin d’accueillir François Hollande qui allait être interrogé par cette chaîne de télévision. Les manifestants entendent lui montrer que leur opposition à la loi Taubira reste pleine et entière. Trompettes, sifflets, drapeaux, sono : rien ne manque aux manifestants. Les forces de l’ordre sont aussi nombreuses qu’inutiles, puisqu’elles savent parfaitement qu’il n’y a aucun risque que la manifestation dégénère. Mais Valls, l’homme au coup de menton viril, entend montrer sa force : la puissance inutile du faux fort ou du vrai faible.
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Que fête-t-on le 14 juillet ?
Il est de bon ton de fêter comme il se doit, chaque année, la date du 14 juillet, considérée comme fondatrice de notre République. Nombreux sont ceux qui peuvent profiter de ce jour chômé, au cours duquel l’État français montre sa puissance en organisant un important défilé militaire, les collectivités locales, même les plus petites, organisant de leur côté concerts, bals et autres feux d’artifice pour glorifier l’événement. Il s’agit bien d’un jour de célébration nationale, visant à démontrer la communion des Français aux « valeurs de la République ».
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Rémunération : peut-on tout se permettre ?
La rémunération du président d’Alstom a déclenché une polémique nationale, soigneusement entretenue par les médias, et reprise par la classe politique. Que s’est-il passé très exactement ?
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Le référendum, clé du redressement.
S’il en était besoin, la consultation du peuple britannique sur le brexit démontre que seul le référendum pourra permettre aux grandes démocraties occidentales de stopper un déclin qui, sans la mise en place de cette procédure de décision politique, deviendra irréversible.
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Le Brexit et les conosophes.
En réponse à une question que lui posait un journaliste sur l’affaissement culturel général, Georges Pompidou, homme d’une immense culture, d’une grande puissance intellectuelle et d’un réalisme légendaire, répondit simplement : « Voici venu le temps des conosophes ». Ce que l’on entend actuellement sur le brexit semble confirmer son affirmation.