Editorial
Editorial
-
Sauvons Paris, au nom du Sacré-Coeur !
Mieux vaut tard que jamais : 150 ans après sa construction, la basilique du Sacré-Cœur de Montmartre va être classée monument historique. Nous imaginions sans doute qu’elle l’était depuis longtemps : que nenni !
-
Sophie Pétronin, ambassadeur de l'islam
Éphémère moment de gloire internationale pour Emmanuel Macron : la dernière otage française prisonnière dans le monde vient d’être libérée. Quelle fierté ! Mais à quel prix…
-
Mortelles transgressions : une obsession républicaine
Comme l’indiquait François de Lochner dans son communiqué d’hier soir, le projet de loi portant le délai légal pour avorter en France de 12 à 14 semaines de grossesse a donc été adopté en première lecture à l’Assemblée nationale, à raison de 102 voix pour, et 65 voix contre. 410 députés étaient aux abonnés absents pour un enjeu aussi crucial.
-
Le meurtre légalisé
Il y a quelques jours, au milieu de la nuit, la prolongation de l’état d’urgence sanitaire jusqu’au 1e avril 2021 a été votée par 26 députés seulement sur 577. 26 députés, cela suffit visiblement à prendre des décisions qui engagent la vie de millions de Français, et réduisent considérablement et durablement leur espace de liberté. Combien seront-ils à voter jeudi 8 octobre l’allongement de la durée légale de l’avortement de 12 à 14 semaines ? Une poignée ? Une demi-douzaine de parlementaires s’arrogeront-ils un droit de vie et de mort sur des centaines, des milliers de petites vies humaines, une fois de plus dans l’indifférence générale ?
-
Tous frères, ou "frères dans la foi" ?
Le pape François a rendu publique dimanche 4 octobre sa troisième encyclique, intitulée, en italien, Fratelli tutti, ou Tous frères. Nombreux sont ceux qui aiment à répéter, à l’envi, que le pape ne doit pas « faire de politique ». S’il n’est pas dans son rôle de donner des consignes de vote, la vision anthropologique qui se dégage de ses écrits, a, évidemment, à voir avec la politique, et cela était déjà le cas à l’époque de saint Jean-Paul II, dont le pontificat fut évidemment politique, ou encore de Benoît XVI.
-
Avortement : l'acharnement
Le 30 septembre, dans l’indifférence générale, vient d’être examiné en commission à l’Assemblée nationale un projet de loi visant à allonger le délai légal pour l’avortement, en le passant de 12 à 14 semaines de grossesse. La proposition sera quant à elle soumise au vote le 8 octobre, dans une petite semaine.
-
Violence partout, justice nulle part
Une fois de plus, alors même qu’il vient d’essuyer une nouvelle condamnation révélant le degré de corruption politique de la justice de notre pays, Eric Zemmour est monté au créneau lors de son dernier grand débat avec le criminologue Alain Bauer, pour ouvrir les yeux de nos compatriotes et mettre des mots sur des réalités que certains refusent obstinément de considérer : cette fois sur la notion polémique de « l’ensauvagement » de la société française.
-
Désobéissance civile ?
Après une deuxième, voire une troisième ou une quatrième vague d’annonces anxiogènes, le couperet est tombé mercredi au soir par la bouche du ministre de la Santé, Olivier Véran : durcissement des mesures de luttes contre le coronavirus, en particulier dans la région d’Aix-Marseille, où les bars et restaurants se voient condamnés à baisser le rideau, mais aussi dans tout un ensemble de grandes villes où les établissements recevant du public, bars et restaurants, comme salles des fêtes ou de sport, sont frappés de nouvelles restrictions, au gré d’exclusions sans logique et de fantaisies gouvernementales.
-
A l'Ouest, du nouveau !
La campagne des élections présidentielles est plus qu’entamée, et n’en déplaise à nos journalistes experts en diagnostics internationaux erronés, la victoire de Joe Biden, le candidat démocrate, n’est absolument pas une certitude à ce jour.
-
Les maires verts nous font voir rouge
Les média nous ont asséné cette vérité avec beaucoup de conviction et de systématicité : en France, à la faveur de la pandémie de coronavirus, la « vague verte », c’est-à-dire la montée en puissance inexorable du vote écologiste, est devenue une réalité de notre paysage politique, profonde et durable comme le développement.