Editorial
Editorial
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Le brillant héritage de Donald Trump
Les médias français le disaient et le répétaient depuis la victoire historique de Donald Trump lors de l’élection présidentielle de novembre 2016 : les quatre ans de présidence de ce fou-furieux déboucheraient sur une catastrophe générale pour les États-Unis. Du Monde au Figaro en passant par Les Echos, ce discours fut martelé quasi quotidiennement pendant quatre ans.
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Soumission
L’Union européenne se décidera-t-elle un jour à incarner avec puissance une authentique civilisation européenne ? Peut-être ce vœu pieu se réalisera-t-il le jour où elle disparaîtra… Le dernier épisode de son jeu diplomatique consternant vient prouver une fois de plus, s’il en était besoin, qu’elle se situe décidément du côté du renoncement et l’humiliation, chez elle si intériorisés qu’ils en sont devenus une seconde nature.
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'L'ultime liberté", c'est de défendre la vie
Au bout d’un an, le confinement revient, les mêmes recettes sans réels effets, brandies par des gouvernants qui ne savent plus à quels saints se vouer.
Triste recommencement d’un scénario que nul ne souhaitait voir se rejouer, et qui signe notre impuissance générale devant un virus qui fait éclater à la face du monde la perte du bon sens qui caractérise notre société, pour ne pas dire tout simplement la perte du sens. -
Peut-on sortir de la « pornographie pour tous » ?
Depuis quelques mois, l’actualité a été riche en scandales moraux : l’affaire Kouchner-Duhamel, l’affaire Berry, l’affaire Cochard – un élu communiste accusé de viol (la victime s’est depuis suicidée), et la liste des affaires de mœurs des milieux politico-culturels ne cesse de s'allonger. Plus récemment, la cérémonie des César et la prestation d’exhibition sexuelle de Corinne Masiero ont choqué des millions de téléspectateurs. Toutes ces affaires sont l’étalage, au grand jour, de la corruption de notre société : tout est perverti, à commencer par notre rapport à la sexualité.
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Notre événement du 7 avril
Nous vous l’écrivions encore il y a quelques jours : l’éducation est un chantier prioritaire tant elle concentre sur elle, avec les encouragements du gouvernement actuel, toutes les attaques de la part des déconstructeurs.
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Menace sur le halal : une fausse bonne nouvelle !
De Paris à Lyon en passant par Evry, les mosquées les plus importantes de France (nous n’osons dire les plus grandes mosquées) témoignent de leur inquiétude concernant de nouvelles dispositions censées s’appliquer dans notre pays à la viande halal, c’est-à-dire la viande abattue selon un rite compatible avec la pratique musulmane.
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Guerre chaude entre Vladimir Poutine et Joe Biden
Heureusement qu’en chassant Donald Trump de la Maison-Blanche, les Américains faisaient le choix de mettre fin à l’outrance, à l’aventurisme, à la provocation diplomatique, à l’irrespect des partenaires internationaux… Avec l’arrivée de Joe Biden à la présidence, enfin, tous les bien-pensants nous l’avaient promis, ce serait le retour de la dignité et de la raison. On allait voir ce qu’on allait voir.
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L'euthanasie pour tous
Soyons cyniques : l’hôpital est engorgé, on organise à grands renforts de reportages télévisés des transferts de patients d’une région à l’autre. Pourquoi tant de frais, quand il existe une solution bien simple, et tellement économique, à savoir l’élimination sans douleur et sans arrière-pensées des patients encombrants, par le biais de l’euthanasie ? Maîtrise des coûts, mise à disposition de nouveaux lits : que des avantages.
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La France malade de l'Algérie
Le 20 janvier, Benjamin Stora remettait à Emmanuel Macron son rapport sur « la mémoire de la colonisation et de la guerre d’Algérie », au terme d’une mission confiée par le président de la République et destinée à « réparer le passé ». En fait de réparations, malheureusement, le compte n’y est pas. Pouvait-on s’attendre à autre chose, à l’heure où triomphent le discours décolonial et indigéniste, le wokisme et autres joyeusetés ?
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Jean-Michel Blanquer, un nouveau Peillon ?
Les mois se suivent et se ressemblent : le ministre de l’Education nationale, Jean-Michel Blanquer, reste furieusement fidèle à la ligne du « en même temps » qui est le credo du gouvernement d’Emmanuel Macron. Souffler le chaud et le froid, envoyer des signaux « positifs » aux milieux de droite, tout cela afin de brouiller les pistes, et de mieux enfoncer le clou d’une politique de l’éducation qui reste obstinément hostile aux familles et à la liberté de l’éducation.