Editorial
Editorial
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Pas de liberté dans les cartables
La rentrée approche… nous voyons bien sûr l’horizon considérablement obscurci par les restrictions politico-sanitaires, mais elles ne sont pas les seuls maux dont nous avons à souffrir. En effet, pour les enfants et les parents de France, la liberté d’enseignement n’a jamais été en aussi mauvaise posture.
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Laissez venir à moi les petits terroristes...
Quelques jours après la chute de Kaboul, et alors que le départ définitif des troupes américaines du sol d’Afghanistan, prévu pour le 31 août, se précise, la machine migratoire à s’attirer des ennuis se met à nouveau en marche.
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Délit d'entrave : qui entrave qui ?
Les féministes de tout poil, les néos comme les anciennes, en ont fait des gorges chaudes : après avoir osé proposer, pour le dimanche du 15 août, une programmation ostensiblement catholique (rediffusion d’une messe célébrée par Monseigneur Rey et reportage autour de la Marche de Saint-Joseph, finissant au sanctuaire de Cotignac), la chaîne C8 récidivait le lendemain en diffusant le film Unplanned, l’histoire vraie d’une ancienne directrice d’un centre de Planning familial, Abby Johnson, devenue pro-vie.
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Le vaccin, diviseur diabolique
Comme nous le savons, le Prince de la division, le Grand diviseur a un nom : il s’agit du démon. L’objectif de ce dernier est de diviser autant que faire se peut, car il sait que la division ravage, ruine, détruit tout sur son passage. Et voici que les temps actuels, notamment axés sur le covid, lui offrent un nouveau terrain de jeu au niveau mondial : il s’agit bien sûr de la mise en force, au niveau de la planète tout entière, du vaccin anti-covid.
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Folie covidique, folie climatique
Nous sommes au cœur de l’été, et il fait chaud. Après de trop longs jours avec un temps maussade, qui n’a pas peu contribué à saper ce qu’il restait de moral aux Français, l’été s’est installé, avec ses après-midis ensoleillés, mais aussi lourds et orageux. Depuis de nombreuses semaines, divers épisodes graves d’incendies ravagent des millions d’hectares de nature et font la une des journaux.
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CNews et BFM TV, même combat ?
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Vous exagérez...
Lettre ouverte à mes amis qui pensent que nous ne sommes pas en dictature.
"Chers amis,
Lorsque nous avons partagé un verre en terrasse il y a quelques jours – le dernier, peut-être, avant un long moment puisqu’à compter de la mise en place du passe sanitaire, je ferai désormais partie des « intouchables » qui, n’entendant pas devoir exhiber un code informatique au moindre verre de pastis impromptu, préfèreront les apéritifs à domicile, le ton de la discussion est monté au motif que « j’exagérais », et que non, trois fois non, la France d’Emmanuel Macron n’était pas la dictature que quelques hurluberlus anti-vaccins s’acharnent à dénoncer avec une certaine dose, non d’ARN messager, mais de mauvaise foi.
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Violence et folie du pouvoir
Voilà plusieurs semaines que les cortèges de manifestants grossissent, sur tout le territoire français : ils se comptent désormais par centaines, dans les préfectures, les sous-préfectures, les petites villes, les villes moyennes comme les métropoles. Un mouvement d’une ampleur jamais vue, surtout à une telle période de l’année, habituellement caractérisée par un long assoupissement et un désintérêt à peu près total de nos concitoyens pour des enjeux autres que les jeux de plage et l’heure de l’apéritif...
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Expulser le virus, ou les clandestins ?
Alors que l’OMS appelle à la prudence, et rappelle que la frénésie vaccinale n’est pas forcément la meilleure des stratégies, notamment concernant les jeunes, le gouvernement français et ses multiples relais ne ménagent pas leur peine pour pousser l’ensemble de la population française à se faire vacciner. Ainsi, dans l’Hérault, un préfet n’a guère de scrupules à acheter les patients à coups de bons de réduction chez des enseignes commerciales partenaires aussi peu recommandables que Burger King : la dimension sanitaire du geste vous échappera peut-être autant qu’à nous, mais peu importe.
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La rue, dernier rempart des libertés
Après l’ordre, toujours attendre le contre-ordre. Ou le désordre… Les débats parlementaires de ces derniers jours ont donné lieu à une série déconcertante de palinodies : deux pas en avant, trois pas en arrière. Amendements votés à 20h pour être défaits le lendemain matin à 5h. Sans compter les habituelles mais inutiles passes d’armes entre l’Assemblée nationale et le Sénat. Sans compter les scandaleuses prises de position du Conseil d’Etat en ces derniers jours, qui, par la voix de ses rapporteurs, petits soldats de La République En Marche, ne voit de problème nulle part, valide tout, consent à tout, au motif que les « circonstances exceptionnelles » permettent tout.