Source [Le Monde] Au congrès de Régions de France, Edouard Philippe a demandé aux associations de ne pas rompre le dialogue.
Entre le millier d’élus locaux – maires, présidents de département ou de région – réunis mercredi 26 septembre à Marseille dans l’auditorium du Palais du Pharo, et le premier ministre, Edouard Philippe, qui s’est adressé à eux jeudi matin, il y a comme un gouffre d’incompréhension. Comme s’ils ne parlaient pas la même langue. Comme si deux légitimités s’affrontaient. Au risque de conduire à la paralysie de l’action publique.
« Nous ne sommes pas des opérateurs de l’Etat mais des élus du suffrage universel. Tous les leviers de transformation de la France reposent sur des compétences partagées Etat-collectivités. Nous demandons un agenda partagé de réformes », clame l’« appel de Marseille pour les libertés locales », signé par quelque 1 200 élus, dont la quasi-totalité des présidents de région et de département. « Je ne nie pas l’ampleur des transformations que nous engageons. Que voulez-vous, nous avons été mandatés pour les conduire. Alors, nous les conduisons », leur a répondu le chef du gouvernement lors de son discours.
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