Pas plus de 30% de “non-occidentaux” dans les quartiers difficiles danois

Source [Valeurs actuelles] En attendant d’atteindre ce quota, les délits dans ces quartiers sont sanctionnés deux fois plus sévèrement qu’ailleurs. 

Le sacro-saint vivre ensemble ? Très peu pour le Danemark. Par le biais d’un nouveau projet de loi, le gouvernement social-démocrate danois veut faire tomber la part de la population d’origine « non-occidentale » à 30% maximum dans les quartiers difficiles, relaie notamment 20 minutes. Au total, 11% des 5,8 millions d’habitants est étrangère, dont 58% de citoyens « non-occidentaux ».

Pays très restrictif en matière d’immigration, le Danemark a encore durci le ton avec sa Première ministre Mette Frederiksen, au pouvoir depuis juin 2019. Son ministre de l’Intérieur Kaare Dybvad Bek a d’ailleurs estimé dans un communiqué qu’une proportion trop importante d’étrangers de pays non-occidentaux « augmente le risque de voir grandir une société parallèle religieuse et culturelle »

Les logements sociaux limités d’ici à 2030

Au total, 15 quartiers danois sont concernés par cette mesure, et 25 autres sont considérés comme « exposés ». En attendant d’atteindre ce quota, les délits y sont sanctionnés deux fois plus sévèrement qu’ailleurs et la crèche est obligatoire pour tous les enfants de plus d’un an, sous peine de suppression des allocations familiales. De plus, le gouvernement danois envisage d’y limiter à 40% d’ici à 2030 le nombre de logements sociaux occupés par des familles étrangères, mesure hautement inflammable, car elle contraindrait certains à des déménagements forcés. 

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