USA : les tueries de rues se multiplient

Source [Atlantico] Dans le sillage du mouvement Black Lives Matter et après la mort de George Floyd, le maintien de l'ordre a reculé aux Etats-Unis. Les chiffres liés aux taux d'homicides dans des villes comme Chicago ou New York ont depuis connu une forte hausse en 2020.

Chaque jour plus noyée dans les abîmes du nombrilisme-narcissisme libidinal, l'Amérique vo­mit sa "diversité", pourtant exaltée par les gourous libéraux-libertaires. Exaspé­rés par leur per­pétuelle mise au rancart et relégation aux ghettos, les Noirs n'y supportent plus les violences policières. George Floyd étranglé par un policier le 25 mai 2020 : la pou­drière explose. Excitée par des médias "progressistes", la gauche libertaire massacre les bud­gets d'une police qu'elle veut même abolir. Le maintien de l'ordre s'effondre, arrestations et con­trôles freinent fort. Résultat brutal : Chicago 2020, - 53% d'arrestations, + 65% d'homicides ; New York, moins 38% d'interpellations, 100 assassinats de plus.

Cette séquence délirante n'est pas la première de l'histoire des États-Unis, navire sans quille livré à tous vents. Son résultat : une hécatombe de Noirs. Dans ses pires délires, le "Sorcier Im­périal" du Ku Klux Klan n'aurait jamais osé en rêver la moitié.

Pourtant, nulle guerre entre Noirs et Blancs aux États-Unis. L'étude minutieuse du minis­tère de la Justice pour 2018, dernière année expertisée, révèle que, sur les ± 14 000 homicides de l'année, 6 750 précisent la race ; 48% du total, échantillon représentatif. Là-dessus, 2 925 vic­times noires (incluant les métis en Amérique), dont 2 600 tués par d'autres Noirs. Les­quels ? Les chiffres de 2019 révèlent que les 15-34 ans noirs forment 2% de la popula­tion et 37% des assassinés ; 50% des homicides advenant dans les guerres de gangs juvéniles, où dominent les minorités raciales.

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