Source [Marianne] : Pour comprendre au mieux le problème de la dette publique, il est nécessaire de se pencher sur certains indicateurs clés. Dépenses, recettes, croissance… « Marianne » fait le point.
Le paradoxe peut dérouter, mais il est de nature à rassurer. La dette publique s’est envolée ces trente dernières années, notamment à la faveur des crises financières et sanitaire. Le passif de l’État s’élève aujourd’hui à 3 100 milliards d’euros, soit 111 % de la richesse produite chaque année, le PIB. Mais en parallèle, les intérêts que l’État règle à ses créanciers ont fondu : ces versements ont capté 1,8 % du PIB en 2023, alors qu’ils s’élevaient à 3,5 % du PIB en 1995. La raison, une chute des taux auxquels empruntent les États, observée bien au-delà de l’Hexagone.
- Xavier Driencourt : "La convocation de l'ambass...
- "Si les Turcs atteignent leur objectif dans le...
- "Rebelle", "modéré"… Non, islamiste : ne pas se...
- Et Barnier est tombé : récit d’un après-midi cr...
- Affaire Pierre Palmade : Mila, son bébé perdu,...
- UE-Mercosur : lobbies, commission, Pedro Sánche...
- "La tonne de carbone doit devenir une nouvelle...
- Olivier, ex-préparateur physique dans le foot :...
- Présidence de commission, vice-présidence de l'...
- Moldavie : quand les expats installés dans l'Un...