Source [Causeur] : À Grenoble, l’extrême-gauche et son maire EELV ne sont rebutés par aucun délire relevant de l’idéologie déconstructiviste. Après le “dégenrage” des cours de récréations, voici venu le temps des “toilettes non genrées” et de la promotion de la “transidentité”.
Après que deux élèves se déclarant transsexuels ont profité de la circulaire de Jean-Michel Blanquer appelant à une « meilleure prise en compte des questions relatives à l’identité de genre en milieu scolaire » pour attirer l’attention de l’administration du lycée André Argouges sur leur sort, cette dernière a décidé d’installer dans l’établissement en question « un toilette non genré dans chaque bâtiment ». De plus, les professeurs de ce lycée devront maintenant ajouter sur le formulaire de rentrée de chaque élève, en plus de la mention « Prénom », une mention « Prénom choisi », et des associations auront porte ouverte durant une « semaine LGBT » d’ores et déjà prévue. Ces virulentes associations LGBT multiplient les demandes de « rencontres » dans les établissements scolaires et réclament, au nom de l’inclusion, un traitement différencié et de faveur pour les personnes dites non-hétérosexuelles, non-binaires, transgenres, etc., tout en dénonçant une fantomatique “hétéronormativité” supposément imposée par un Pouvoir tout à la fois “hétérocentriste”, patriarcal, capitaliste, colonialiste et raciste.
Retrouver l'intégralité de l'article en cliquant ici
- Harcèlement scolaire: ce que Gabriel Attal peut...
- Poitiers, Rennes, Marseille… la France orange m...
- L’Eglise catholique, piñata favorite de la gauche
- Doliprane: un symbole cher payé
- Responsables, mais plus coupables
- OQTF, un feuilleton français
- Attal / Borne: petit arrangement en lousdé
- Après Philippine, elles ne veulent plus sortir...
- Heureux qui comme Du Bellay repose à Notre-Dame
- McKinsey et la tare de consanguinité