Bioéthique
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Stocker ses ovules à la banque : l’ère de l’anthropotechnie procréative
Thème : Bioéthique
Déposer ses ovules à la banque quand on est jeune pour les récupérer plus tard dans le but de se faire fabriquer un enfant par fécondation in vitro, c’est la dernière recommandation émise par le très sérieux Collège national des gynécologues et obstétriciens français (CNGOF).
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Recherche sur l'embryon : vers un changement de régime
Thème : Bioéthique
Analyse comparative de la proposition de loi bioéthique adoptée par le Sénat le 4 décembre 2012, par rapport à la loi n° 2011-874 du 7 juillet 2011. Si l'Assemblée nationale adopte le texte des sénateurs, pour la première fois en France, la loi bioéthique renierait un de ses principes essentiels, la protection de la vie humaine à son commencement.
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Cellules souches : la découverte du Professeur Yamanaka
Thème : Bioéthique
Shinya Yamanaka, prix Nobel de médecine 2012 pour ses travaux sur les cellules souches, a participé à un colloque en Novembre dernier à l’Académie des Sciences au cours duquel il a exposé son itinéraire scientifique et ses projets.
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Recherche sur l’embryon : 10 raisons de dire non
Thème : Bioéthique
Le 28 mars, les députés vont débattre de la proposition de loi levant l’interdiction de la recherche sur l’embryon humain. Or ce texte porte une révolution juridique et éthique sans fondement scientifique. Les citoyens ayant été privés d’un débat sur la question, voici les dix principales raisons de s’y opposer.
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L’embryon déshumanisé ou la fin de la bioéthique
Thème : Bioéthique
Après le Sénat en décembre dernier, l’Assemblée nationale s’apprête à adopter le 28 mars prochain la proposition de loi libéralisant la recherche sur l’embryon et les cellules souches embryonnaires. Une décision idéologique qui relève du négationnisme scientifique et éthique, constitue une rupture majeure avec nos principes de droit, réduit l’embryon humain à un vulgaire matériel d’expérimentation et signe la fin de la bioéthique.
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Rapport Sicard : suicide sur ordonnance
Thème : Bioéthique
En ouvrant la voie à une possible dépénalisation du suicide médicalement assisté en France, le rapport sur la fin de vie qu’a remis le professeur Didier Sicard au chef de l’État le 18 décembre dernier remet radicalement en cause nos principes juridiques et éthiques de protection de la vie des malades.
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Ordre des médecins : « sédater » pour tuer ?
Thème : Bioéthique
Dans un avis rendu publique le 14 février, le Conseil national de l’ordre des médecins ouvre la porte à l’euthanasie en se prononçant en faveur d’une aide active à mourir délivrée sous la forme d’une sédation terminale à des patients qui le demanderaient de manière réitérée.
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Les procréations artificielles entre trafic et business
Thème : Bioéthique
Une circulaire du ministère de la Santé menace de sanctionner les gynécologues français qui orientent leurs patientes vers des cliniques privées étrangères spécialisées dans le don de gamètes.
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La gestation pour autrui, violation des droits de l’homme et de la dignité
Thème : Bioéthique
La gestation pour autrui, généralement présentée comme une œuvre altruiste et généreuse, est une forme de procréation médicalement assistée qui permet à des couples stériles d’avoir des enfants. Elle ouvre en réalité la porte à toutes sortes d’abus car elle ne respecte pas la dignité humaine des personnes. Voici le texte de la communication donnée par l’auteur, docteur en droit, avocate, au Conseil de l’Europe puis au Parlement européen en avril et juillet 2012, à l’invitation de l’European Center for Law and Justice.
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AMP homosexuelle : le chef de l’État saisit le Comité d’éthique
Thème : Bioéthique
Au cours de son entretien avec le président de l’Unaf (Union nationale des associations familiales), François Hollande aurait indiqué son intention de saisir le Comité consultatif national d’éthique (CCNE) à propos de l’ouverture de la procréation médicalement assistée aux couples de femmes. Si certains y voient un énième atermoiement de l’exécutif sur un sujet qui divise jusqu’au sein de la majorité, d’autres soupçonnent le chef de l’État et son gouvernement de vouloir gagner du temps pour faire voter, étape après étape, une réforme globale sur l’« homoparentalité ».