Pas de trêve estivale pour le combat politique ! Le scandale de la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Paris a montré à quel point la dégénérescence imprègne les petites élites parisiennes encore aux manettes.
Nous ne reviendrons pas ici sur cet évènement affligeant, d’autres ont largement critiqué ces agapes antichrétiennes, antifrançaises et même anti humaines, de Jean-Luc Mélenchon à Philippe de Villiers. Sur cette parade queer, tout est à jeter, du metteur en scène aux figurants.
Cet énième épisode dont s’est délecté le président Emmanuel Macron montre le sentiment d’impunité dont bénéficie une petite clique élitaire. Les réactions massives d’hostilité qui ont poussé des médias « modérés » comme Le Figaro à réajuster leur jugement dans un premier temps béat devant la mise en dérision de la Cène, la tête coupée de Marie-Antoinette ou l’éloge éculé de Simone Veil.
Plusieurs enseignements sont à tirer de cette affaire : faire pression sur les médias et les élus est utile, disposer de médias plus conservateurs (JDD, CNews, médias alternatifs) l’est également pour faire caisse de résonnance. Enfin, cela nous rappelle que le combat contre les dérives sociétales est sans répit. Il s’agit de ne jamais baisser la garde.
Les multiples initiatives associatives, médiatiques, spirituelles sont autant de graines semées pour détruire, demain, l’attelage culturel gauchiste-libéral.
Le déclin est un temps inévitable dans la vie d’une civilisation, il appelle tantôt à sa fin tantôt à son renouveau. Cependant, la fin n’est pas écrite d’avance et il convient de se battre pour qu’advienne un ordre nouveau au service du bien commun.
Depuis un peu plus d’une décennie, une dynamique sans précédent s’est enclenchée dans le sillage de La Manif Pour Tous. D’une apparente défaite peut éclore une victoire. Il convient de se montrer endurant, la bataille politique est un marathon, pas un sprint. Il s’agit de préparer les conditions d’un changement de pouvoir. De telles conditions ne sont pas réunies et elles ne le seront certainement pas en 2027. Il nous faut regarder à l’horizon, travailler dans le temps long et remporter de multiples batailles parfois d’apparence anecdotiques mais qui, mises bout à bout, pourront préserver l'existence de notre foi, de notre peuple et assurer l'avenir de nos enfants.
Haut les cœurs !
Olivier Frèrejacques
Président de Liberté politique
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