Source [Le Figaro] : Thibault Lhonneur, conseiller municipal de Vierzon, publie une note sur le vote de gauche dans les sous-préfectures, ou plutôt ce qu’il en reste.
Ce n’est ni un scoop ni un secret: la France éloignée des grands centres urbains et des banlieues a quitté la gauche. À moins que ce ne soit l’inverse. Car les élections passent, les désillusions dans les urnes s’enchaînent et le désamour continue de s’ancrer, à tel point qu’il est permis de poser certaines questions. La gauche a-t-elle renoncé à s’adresser à toute une frange géographique du pays? Considère-t-elle que si les préoccupations quotidiennes d’une partie des Français sont éloignées de l’agenda imposé par les cadres Insoumis, socialistes ou écolos, ces électeurs potentiels méritent leur sort?
D’aucuns refusent de se résigner à l’idée que la France des petites villes serait irrécupérable. Thibault Lhonneur est de ceux-là. Ce proche de François Ruffin, conseiller municipal de Vierzon (Cher), vient de publier une note fouillée pour la Fondation Jean Jaurès sur le vote de gauche dans les sous-préfectures, ou plutôt ce qu’il en reste. Un rapide tour d’horizon de la carte électorale…Retrouver l'intégralité de l'article en cliquant ici
- Guerre en Ukraine, armes nucléaires, Proche-Ori...
- Donald Trump, les perspectives d’une élection
- Comment la France peut supprimer 150.000 postes...
- Immigration : comme l’Italie, la France devrait...
- Amende, peine de prison... Avec son don quotidi...
- «Il n’y a pas un avant et un après Samuel Paty,...
- LGV du Sud-Ouest : en Gironde, des milliers de...
- Mathieu Bock-Côté : «L’État de droit divin»
- Justice: une association va attaquer la limitat...
- À trop s’occuper de la surpopulation carcérale,...