Source [Atlantico] : Michel Barnier voulait prouver qu’en réduisant les dépenses publiques, il protège mieux l’activité qu’en augmentant les impôts. C’est raté, la classe politique est tombée dans le délire fiscal parce que l’opinion s’oppose aux réductions de dépenses publiques.
La discussion budgétaire portant sur les recettes s’est terminée dans le délire fiscal annonçant un fiasco budgétaire. Le projet initial présenté au parlement et à Bruxelles avait programmé une réduction du déficit à environ 60 milliards, répartis entre un tiers d’augmentations d’impôts et de charges et deux tiers de réductions de dépenses. Soit moins de 20 milliards d’un côté et plus de 40 milliards de dépenses publiques et sociales en moins de l’autre.
La discussion sur la première partie des recettes fiscales s’est terminée ce week-end sur un résultat complètement démentiel en plein délire fiscal. Chacun dans l’hémicycle est allé de sa petite augmentation d’impôts sans jamais accepter une once de coupe au niveau des dépenses.
- Dépenses publiques en roue libre : mais qui ose...
- Présidentielle américaine : il n’y a pas que la...
- Les milliardaires, cette solution mirage pour c...
- Ces entités proches des Frères musulmans que l’...
- Immigration : l’Europe prise à son propre piège ?
- Mondial de l'Auto : le spectre d’une catastroph...
- Marseille : tueur à gages, ça eut payé
- Dominique de Villepin : du « SMIC jeunes » au d...
- Trafics de drogue, viols, meurtres, OQTF non ex...
- Être conservateur en France, ce crime…