Source [Huffington Post] La juridiction administrative suprême a de nouveau donné raison à l'exécutif dans sa gestion de l'épidémie de covid-19, refusant notamment de le contraindre à recourir à un dépistage massif.
Le Conseil d’État a débouté, samedi 28 mars, deux syndicats de soignants qui l’avaient saisi en référé pour réclamer notamment des masques, des “moyens de dépistage massif” du coronavirus et l’autorisation pour les médecins et hôpitaux de prescrire de la chloroquine “aux patients à risque”.
Déboutant le Syndicat des médecins Aix et région (SMAER) de ses demandes, la plus haute juridiction administrative a rappelé dans sa décision les réquisitions de masques ordonnées par le gouvernement. En outre, “les premières livraisons” de masques commandés par l’exécutif sont “attendues prochainement”, a-t-il noté.
Concernant les tests de dépistage, le Conseil a souligné l’“insuffisante disponibilité des matériels” actuellement.
Au sujet du traitement par association de l’hydroxychloroquine (antipaludéen) et de l’azithromycine (antibiotique) prôné par le SMAER, le Conseil a rappelé que “par les décrets des 25 et 26 mars”, le gouvernement avait “permis la prescription de l’hydroxychloroquine” aux malades hospitalisés, “sous la responsabilité du médecin prescripteur et dans le respect des recommandations du Haut Conseil de la santé publique”.
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