Un témoignage sur Grigny

Source [Jean-Claude Dufflo] Après la description de Roubaix dans « Zone interdite », Naïma s’exprime. Elle se lance dans la description de sa ville, Grigny (Essonne) et déclare que c’est pire qu’à Roubaix. Son nom a été modifié pour sa sécurité, ce qui montre le niveau de liberté d’expression à Grigny.

C’est quand même inouï qu’en France, à cause d’importateurs d’une secte qui n’a rien à voir avec nos valeurs françaises, par gens qui ne sont que Français de papiers et viennent comme des sangsues sucer le peu d’argent qui nous reste alors qu’ils ont déjà vidé les caisses… on ne puisse plus s’exprimer librement en ne montrant que des faits, rien que des faits.
 Les faits, les voici : Grigny, pour Naïma, qui est d’origine maghrébine, c’est l’enfer du salafisme, de la drogue, de la prostitution. Un enfer islamique.
 À Grigny, les femmes qui ne sont pas voilées et qui marchent dans la rue sans le tuteur requis par la charia (le mahram ), sont considérées comme « les reines des putes ». Si elles se mettent en robe, également.
 Une femme non voilée dans les rues de Grigny n’est pas considérée comme une femme « bien ». Dès lors les hommes peuvent leur faire des propositions indécentes, et les agresser sexuellement. Ils ne se privent pas de les insulter.
 Une femme, si elle n’est pas voilée, peut être violée, battue, c’est normal.
 Entre nous, drôle de religion dans laquelle un homme peut se permettre de se comporter en pervers sexuel, en voyou, en crapule. Drôle de religion dans laquelle l’habillement d’une femme donnerait aux hommes le droit de se comporter comme des porcs qui ne se respectent pas eux-mêmes.
 Les femmes à Grigny sont constamment surveillées par des barbus tyranniques, qui se croient permis de vérifier ce qu’elles achètent en ville, de leur dire d’aller se rhabiller, de vérifier avec qui elles vivent et comment.
 À Grigny, même des petites filles sont voilées car « il faut qu’elles s’habituent dès l’enfance. Il faut qu’elles apprennent la pudeur.» Je me souviens moi-même avoir vu dans une maternité un berceau de bébé entouré d’un tchador noir. On ne pouvait rien voir du bébé.
 Les jeunes adolescentes qui sont vues avec un garçon finissent toujours par être violées. Et une fois qu’elles ont été violées, n’importe qui peut abuser d’elles, dans les tournantes dans les caves. C’est « normal ». Elles peuvent devenir prostituées, ou alors être tuées dans un crime d’honneur « pour sauver la réputation de la famille. »
 Souvent, l’été, elles partent au bled et ne reviennent pas. Elles sont mariées de force à des vieux, au bled. On leur prend leurs papiers, on les brûle. Pour la nuit de noces, si elles ne veulent pas, on les attache ou on les drogue.
 En 2001, l’imam de Grigny a marié sa fille de 13 ans à un « vieux blédard » de 30 ans. Personne n’a protesté. Naïma elle-même a failli être mariée par son père à onze ans.
 Les femmes de Grigny doivent du berceau au cercueil être soumises. Elles devront toujours être dans l’ombre d’un homme.
 À Grigny, le ramadan est obligatoire pour tous et toutes et si quelqu’un se permet de ne pas le faire, il est sévèrement repris par « le KGB islamique ». On n’a même pas le droit de manger un sandwich dehors.
 Le maire communiste de Grigny, Philippe Rio, n’habite pas Grigny, il habite Paris, ce qui lui permet d ‘échapper en douce à l’ambiance délétère. Il a organisé un jumelage avec la Palestine, en bon islamo-collabo. Il fête l’Aïd tous les ans, car il doit plaire à ses électeurs. Mais probablement cela lui convient très bien de fêter l’Aïd.
 Il se maintient en place grâce aux islamistes, qui veulent la charia. Et ils l’ont.
 Il n’y a à Grigny aucun magasin qui ne soit pas halal.
 À Grigny, les garçons deviennent dealers dès l’âge de dix ans et les petits de cinq ou six ans font le guet. Les écoles sont nulles et les écoles coraniques en profitent. Soit les enfants sont livrés à eux-mêmes, soit ils sont récupérés par des gens qui sont dealers ou salafistes, voire les deux en même temps.
 On peut continuer comme cela longtemps, il y a tant à dire.
 À Grigny une femme ne peut pas vivre selon nos règles simples. Elle ne peut pas prendre un café, en robe d’été. Naïma est agressée en permanence, tous les jours, et craint pour son avenir, pour sa vie.
 L’islamisation de la France c’est ça : les nouveaux venus, dans la grand majorité, pourrissent la vie des remplacés. Et des nouveaux venus qui voudraient vivre à l’européenne. Cela montre à quel point ces remplaçants nous aiment et estiment notre culture. Avec l’assentiment de presque tous les élus.
 La France se fait remplacer petit à petit, dans une grande indifférence de la majorité consumériste lobotomisée et dans la joie des collabos myopes, qui ne voient qu’à très court terme leur petit intérêt du moment. Après eux le déluge.
 C’est le suicide français. Grigny, ce n’est plus la France.
 

Un seul espoir pour les envahis dans cet horizon qui n’a plus rien à voir avec la France, horizon peuplé de voiles, de niqabs, de djellabas, de boucheries halal, de mosquées salafistes avec parfois leurs muezzins, d’écoles coraniques qui pratiquent l’apartheid, d’agressions sexuelles multipliées, de surinages quotidiens, de mineurs non accompagnés qui nous coûtent un bras, de profiteurs, de prisons remplies d’étrangers, de traîne-savates qui n’ont rien à faire là, de refus de reconduire tous ces voyous aux frontières, d’hypocrisie et d’aveuglement volontaire.

Jean-Claude Dufflo