Il y a des gens qui sortent de leur case (ou de celle où on voudrait les mettre) pour rappeler au monde que les faits, la logique et le bon sens sont encore les meilleurs boussoles dans la vie. Patrice Quarteron fait partie de ces gens-là.
Patrice Quarteron n’a décidément pas la langue dans sa poche !
L’ancien champion du monde de boxe thaï et de kick-boxing s’est exprimé lundi 13 juillet dans une interview sur la police, les banlieues, le racisme anti-blanc, la gendarme Mélanie ou Camélia Jordana… Habitué à s’exprimer sans prendre de gants sur les réseaux sociaux – où il publie régulièrement des commentaires acerbes sur l’actualité – cet ancien du quartier de la Grande-Borne à Grigny (« en reconquête républicaine ») n’a pas dérogé à ses habitudes dans cette interview au Parisien.
S’il a troqué les gants et le short pour un costume de circonstance, le « Rônin sombre » est plus combatif que jamais, écœuré par le silence assourdissant des professionnels de l’indignation après le décès de la gendarme Mélanie Lemée. Pas grand monde non plus pour s’indigner de la mort de Philippe, fait-il remarquer, ce chauffeur de Bayonne, tué pour avoir fait son travail, de façon totalement gratuite. Ni Yannick Noah, ni Omar Sy, ni Camélia Jordana, cette « petite-bourgeoise inscrite à des cours de piano dans un grand lycée parisien » qui instrumentaliserait une misère qu’elle ne connaît pas, selon le sportif.
Les banlieues et… les blancs
Le guerrier frappe là où ça fait mal, les points névralgiques, tabous, comme la mentalité anti-française, anti-Charlie et le racisme que l’on trouve en banlieue et qui n’ont pas l’heur d’être reconnus par la doctrine officielle des médias. « Le racisme anti-Blancs existe. Je connais cette mentalité qui veut qu’un blanc dans la tête de certains n’a le droit de rien dire sous peine de se faire massacrer. J’ai été formaté avec cette haine par certains dans ma jeunesse, je sais de quoi je parle ».
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