Source [Conflits] : La coupe du monde au Qatar sera peut-être l’occasion d’intensifier les relations diplomatiques avec Israël. Preuve que sport et diplomatie peuvent utilement s’associer.
La relation entre le Qatar et Israël révèle depuis l’origine une trajectoire ambivalente : défiance d’un côté, volonté de ne pas rompre totalement les liens du dialogue de l’autre.
Contrairement à ses voisins – les Émirats arabes unis (EAU) et Bahreïn – désormais liés par les accords dits « d’Abraham », souscrits entre septembre et décembre 2020, entre les EAU, Bahreïn, Maroc, Soudan) avec l’État hébreu – le Qatar a toujours conditionné la normalisation de sa relation avec Israël à la création d’un État palestinien. Pour autant, en 1996, il avait été le premier pays du Golfe à établir des relations diplomatiques avec Tel-Aviv et ce, jusqu’en 2000.
Une « Nouvelle ligne »
Récemment encore, si les autorités qataries déclaraient vouloir maintenir une « relation de travail » avec leurs homologues israéliens afin de préserver, en particulier, leur aide aux Palestiniens, la perspective d’un « réchauffement » diplomatique semblait assez illusoire.
Retrouver l'intégralité de l'article en cliquant ici
- Immigration et travail : le faux problème
- L’Union européenne, futur État centralisé ?
- Le Vatican et le refus des blocs
- Faut-il le retour de la conscription ?
- Interventions militaires françaises en Afrique...
- Fixer les prix de l’énergie : les leçons de l’a...
- Xavier Driencourt : « La France est de moins e...
- Au Liban, la crise économique et sociale s’agg...
- Vote musulman : ces voix qui pourraient manquer...
- Crise du logement : le rôle nuisible de l’encad...