Léa, Ruth et Apolline : le triomphe du mondialisme

Léa Salamé, Ruth Elkrief et Apolline de Malherbe : trois journalistes féminines devenues expertes dans l'air du maquillage de la réalité.

Violences citadines et rurales, plus personne n’est épargné. Agressions multiples sur des femmes âgées, sur des jeunes hommes, des jeunes filles. Des meurtres, des viols chaque jour, nos médias nationaux évitent d’en faire l’énumération et quand ce n’est pas possible, évitent de citer les prénoms des agresseurs, sauf s’ils ont des noms et prénoms à consonances européennes ou françaises.

« Ensauvagement » c’est déjà une avancée, nous diront les uns, une remarque fasciste, diront les autres. Au gouvernement, ensauvagement pour Gérald Darmanin, refus du terme pour Dupond-Moretti.

Ensauvagement y compris pour ceux qui sont morts égorgés !

Ensauvagement pour ceux qui ont été les victimes d’agressions au couteau. Elles doivent vraiment considérer que c’est une expression horrible. Je pense à ces deux jeunes gens circulant en scooter et poignardés par deux voyous pour… un regard. (Source)  

Ensauvagement à mettre dans le même sac qu’incivilité pour des meurtres. Tout comme voyou pour jeune, cités difficiles pour quartiers hors la loi, jeune défavorisé pour graine de voyou, famille en difficulté pour fratrie assistée, etc.

L’immigration est devenue la mère de l’insécurité. Cela n’a pas toujours été le cas. Cela peut paraître violent comme expression mais les faits sont là. Que ce soit les agressions, les viols, les meurtres, les attentats, nous sommes bien obligés de faire un constat. Il y a bien sûr des ordures de France qui continue de violer, de tuer, de voler, mais ce n’est pas pour rien que les médias ne citent plus les prénoms des auteurs de tous ces meurtres et viols.

Même un Gilles Williams Golnadel finit par le dire d’une manière plus policée. Moins direct qu’Éric Zemmour et autres. Des journalistes comme André Berkoff le disent, même si c’est avec des précautions de chats. La peur de la 17e chambre judiciaire est forte.

Mais une Léa Salamé,  journaliste franco-libanaise issue de la haute bourgeoisie libanaise, naturalisée en 1989, fait l’éloge sur une radio d’État, France-Inter-Pravda, des médias qui effacent, édulcorent l’information et va même jusqu’à nier que les Français ne seraient pas intéressés par la proportionnelle, ne seraient pas passionnés par des invités divergents, politiquement incorrects, qu’ils n’iraient pas si nombreux sur des radios et télévisions comme CNews, Sud Radio, accueillant des voix discordantes comme celles d’Éric Zemmour, de Michel Onfray, de Laurent Obertone, d’André Berkoff et d’autres.

 Retrouvez l'intégralité de l'article de Gérard Brazon sur https://ripostelaique.com/lea-ruth-appolline-ces-filles-a-papa-journalistes-mondialistes.html