Le coronavirus aura-t-il accéléré le processus de désoccidentalisation du vieux continent?

Source [Causeur] L’Histoire nous a appris qu’il avait toujours fallu la combinaison de plusieurs événements pour engendrer ses grands chamboulements.

 

La deuxième vague du covid-19 est la conséquence directe de la politique de confinement. La première chose à faire eut été de mettre en place des tests rapides et d’isoler les personnes infectées plutôt que mettre l’économie à l’arrêt. Sans le confinement, le coronavirus serait probablement derrière nous, ou en tout cas connaîtrait ses dernières heures. Le confinement a en effet empêché l’immunité collective. Les scientifiques ne sont pas d’accord sur ce point, mais le fait est qu’une grande majorité de personnes ont été infectées sans le savoir, d’autres ont eu les symptômes d’une violente grippe, et malheureusement, les plus fragiles n’ont pas survécu. Rappelons que la grippe espagnole (1918), la grippe asiatique (1957), ou encore la grippe de Hong-Kong (1968), ont chacune fait infiniment plus de victimes.

Ceci dit, la politique du confinement a détruit, et pour très longtemps, une économie européenne déjà mise à mal par une forte désindustrialisation et une immigration massive non contrôlée, toutes deux organisées par le mondialisme des élites de Bruxelles, avec l’apport d’une idéologie écologiste devenue totalitaire et liberticide. Cette même idéologie qui déforce l’Europe face aux pays émergents (Inde, Chine, …) en lui faisant prendre un retard qu’elle ne pourra que difficilement rattraper.

Ensuite, dans une Europe déjà chancelante par ce qui précède, la haine de soi pathologique – avec comme point d’orgue le genou à terre masochiste du « caucasien » face au « racisé » – a signé le grand retour du racisme sociétal déguisé sous la trompeuse appellation d’antiracisme, avec comme conséquence une dangereuse partition de la population.

Les coups de boutoir contre l’identité européenne (devenue un gros mot) et ses racines judéo-chrétiennes (que l’on n’ose plus évoquer), s’illustrent par le « nettoyage » programmé de sa musique, jugée trop blanche selon un rapport de la «League of American Orchestras », de sa statuaire, de sa littérature, de sa peinture, ou encore de son cinéma.

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