
Source [Le Salon Beige] : Le cardinal Robert Sarah a été interrogé par Christophe Geffroy dans La Nef. Extrait :
Vous revenez sur la pandémie et jugez sévèrement les limitations au culte qui ont alors prévalu, notamment en France : pourquoi une telle limitation du culte est-elle illégitime quand il s’agit, non pas de persécuter les chrétiens, mais de protéger la population ?
Une chose m’a frappé : on avait grand soin de la santé des corps, de l’équilibre financier des entreprises mais personne ne semblait se soucier du salut des âmes. Certains prêtres ont été admirables, visitant les malades, assistant les mourants, portant la communion et prêchant par tous les moyens. On ne peut pas – on ne peut jamais ! – empêcher un mourant de recevoir l’assistance d’un prêtre. Il revient aux autorités politiques de prendre les mesures nécessaires pour empêcher la propagation des épidémies. Mais cela ne peut se faire au prix du salut des âmes. À quoi sert-il de sauver les corps si l’on vient à perdre son âme ? J’ai été très touché de voir de jeunes Français se mobiliser pour réclamer la messe. Elle est un bien essentiel. On ne peut en être privé durablement. […]
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