[Source : Boulevard Voltaire]

La disparition des frontières de l’Europe n’est pas le signe d’un progrès mais d’une régression vers les temps barbares. Nous sommes envahis.

« Des civils innocents ont été tués dans les rues alors qu’ils se préparaient à fêter Noël. L’État islamique et d’autres terroristes islamistes attaquent continuellement les chrétiens au sein de leurs communautés et lieux de cultes. […] ça ne fait qu’empirer, le monde civilisé doit changer de mode de pensée, » disait Donald Trump, peu après l’attentat de Berlin qui a coûté la vie à au moins douze innocents et a blessé gravement 45 personnes. Angela Merkel a sciemment laissé le loup entrer dans la bergerie allemande, livrant son peuple à la folie meurtrière d’extra-Européens musulmans haineux.

Une société civilisée n’est pas fermée. Elle n’est pas ouverte non plus. Elle doit, comme une habitation, filtrer les entrées en installant portails et portes. La disparition des frontières externes et internes de l’Europe n’est pas le signe d’un progrès humain mais d’une régression vers les temps barbares. Nous sommes envahis. Parmi lesdits « migrants » (souvent de faux réfugiés et des clandestins trompeusement renommés « exilés » par le novlangue) se cachent des islamistes qui profitent de nos faiblesses pour tuer les nôtres.

Pendant quelques heures, le principal suspect était un individu d’origine pakistanaise âgé de 23 ans qui se serait présenté comme Afghan (ces derniers bénéficient quasi automatiquement du statut de « réfugiés »). Entré en Allemagne le 31 décembre 2015, l’homme est venu en Allemagne par Passau, ville située à la frontière autrichienne régulièrement prise d’assaut par des « demandeurs d’asile ». Il n’avait alors pas eu besoin de passer par des contrôles de sécurité, ceux-ci étant inexistants en raison des flux trop importants que ne pouvaient pas gérer les gardes-frontières. Déjà connu de la police allemande pour des faits considérés comme appartenant au registre de la « petite délinquance », en réalité un cas d’agression sexuelle selon Die Welt, l’homme n’était néanmoins pas soupçonné d’appartenir à la mouvance de l’islam de combat. Cette piste semble ne pas aboutir pour l’heure, les enquêteurs privilégiant une autre hypothèse qui les aurait conduits à perquisitionner un téléphone portable dans un « centre d’accueil de réfugiés » de Tempelhof. Des tâtonnements qui témoignent d’un amateurisme certain de la part de la police outre-rhénane. Quoi qu’il en soit, il ne fait aucun doute qu’il soit question d’un attentat islamiste commis par un extra-européen.

Toute l’Europe se trouve au bord du précipice, rongée par des cinquièmes colonnes contre lesquelles personne ne semble se décider à agir sérieusement. Les larmes ne servent à rien. Il faut sévir et comprendre pourquoi nous en sommes arrivés là. L’immigration apporte l’islam en Europe. L’islam en Europe génère des phénomènes islamistes. L’islamisme amène forcément du terrorisme. Le terrorisme créera les conditions propices à la partition des territoires. C’est très simple mais encore faut-il l’admettre. À chaque attentat, nous réclamons la même chose : le retour des frontières, l’arrêt de l’ingérence coupable dans le capharnaüm moyen-oriental, une politique migratoire digne de ce nom… En vain. Pourtant, tout prouve que nous avions raison avant tous les autres. Sous les injures, nous disions que les bateaux chargés de « migrants » charrieraient leur lot de délinquants, de criminels et de terroristes islamistes vers nos sociétés déjà incapables d’intégrer l’immigration des quarante dernières années… Que ne nous a-t-on alors écoutés…

Angela Merkel est coupable comme tous les autres dirigeants de l’Union anti-européenne. Un jour, ils seront jugés. Voulez-vous comme président d’un François Fillon, estimant il y a tout juste un an que les frontières seraient une « démagogie » ? Pensez-vous que les solutions d’hier soient toujours adaptées aux défis que l’Histoire nous impose ? Le drame qui se joue en Syrie ajoute des risques supplémentaires à une situation déjà intenable comme le prouvent les profils des terroristes Français de papiers tels ceux de Mohamed Merah ou des frères Kouachi. Demain, ils seront des centaines à venir après la bataille d’Alep, en provenance de l’État islamique ou de groupes dits « rebelles ». Préparez-vous.

 

Gabriel Robin