Mayotte. Les associations immigrationnistes contre le renvoi des clandestins

Source [Polémia] : L’immigration, c’est l’apocalypse. Ce qui se passe à Mayotte en apporte la preuve. Une immigration incontrôlée débouche sur des drames pour tous.

Les associations immigrationnistes en émoi

La submersion migratoire véhicule dans ce département d’une criminalité devenue insupportable a mis l’État républicain français dos au mur. C’est le résultat d’un processus historique ancien. En 1975, trois des îles de l’archipel des Comores deviennent indépendantes, mais pas la quatrième, Mayotte. Ceux qui, par vote, ont choisi la France démocratiquement n’étaient plus chez eux. Et la misère des autres îles de l’archipel des Comores ayant choisi l’indépendance s’est déversée depuis des années sur Mayotte la française. On considère aujourd’hui que la moitié de la population de l’île est étrangère et qu’un tiers est composé de clandestins, qui viennent très majoritairement des Comores. Devant le péril, le droit du sol avait été modifié et durcit, mais trop tard et pas suffisamment. L’opération « Wuambushu » – terme qui signifie « reprise en main »– a été lancée à Mayotte par Gérald Darmanin ce 24 avril. On verra bien ce que ça va donner. Mais déjà des torrents de larmes humanitaires sont déversées par les associations immigrationistes.

Tout cela préfigure ce qui se passerait demain en métropole, si jamais on décidait le lutter vraiment contre l’immigration et de renvoyer les clandestins chez eux dans des pays qui n’en veulent pas. La France prévoit d’expulser les Comoriens présents illégalement sur Mayotte vers l’île comorienne la plus proche, Anjouan, située à seulement 70 km. Quelque 1 800 policiers et gendarmes sont déjà à Mayotte. Des mesures soutenues par les vrais Mahorais mais qui révulsent nombre d’associations bien pensantes.

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