Source [Atlantico] : Jusqu’alors, les chefs d’entreprises n’ont pas dit un mot sur la crise sociale ou le projet de réforme des retraites mais maintenant que l’exécutif et les syndicats cherchent une sortie, ils craignent fortement de devoir payer la facture.
Les chefs d’entreprises ont beau vouloir rester neutres et discrets dans la crise sociale qui traverse le pays, ils savent qu’il faudra en sortir et que ce jour-là, ils seront convoqués par le gouvernement et les syndicats pour payer une partie de la facture.
L’INSEE vient de nous indiquer que les chefs d’entreprise ont gardé le moral. Ils ont certes perdu un petit point au thermomètre de mars mais par rapport à un mois de février qui lui avait été relevé à la hausse.
Globalement, les entreprises résistent bien aux bourrasques intérieures et extérieures. D'un côté, la majorité d’entre elles assument la guerre en Ukraine et ses conséquences. Toutes celles qui travaillaient en Russie ont fait une croix sur leurs actifs qu’elles essaient de vendre et toutes se sont faites à l’idée qu’il leur serait très difficile de travailler dans un pays autoritaire, en Iran, comme en Russie et même en Chine où il va falloir renforcer l’accompagnement juridique des négociations parce que ça va devenir compliqué.
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