L’ONU, arme d’extinction massive de l’humanité

Source [Contrepoints] : Cette multiplication de COP et autres sauteries médiatiques ne doit rien au hasard : l’agenda des globalistes repose en effet sur une adhésion aussi large que possible d’un maximum d’individus, pour ne leur laisser ensuite aucune marge de manœuvre.

Mercredi dernier avait lieu l’ouverture de la « COP15 sur la biodiversité ». Oui, vous avez bien lu : il s’agit encore (!) d’un gros pince-fesses international médiatisé où le petit four écoconscient produit en biodynamie se déguste après un voyage en jet privé pour discuter d’un problème créé de toutes pièces et y apporter des solutions forcément géniales. Les élites s’ennuient, il faut bien les occuper, que voulez-vous.

Rassurez-vous : s’il y a un problème (forcément gros, forcément mondial) qui pèse sur la biodiversité, au moins les choses sont claires dès le début et tout le monde sait d’emblée que le plus grand des dangers, le monstre le plus baveux, le plus dentu, le plus crochu et le plus vorace, c’est sans nul doute l’humanité tout entière.

D’ailleurs, pour Antonio Guterres, l’actuel dodu en charge de l’ONU, pas de doute : l’humanité est devenue une « arme d’extinction massive ».

Pensez donc : comme l’indique très bien l’AFP dans sa petite notule poussivement écrite avec les sourcils froncés et un petit bout de langue au coin des lèvres, il est sûr et certain que « Les produits chimiques, les plastiques et la pollution atmosphérique étouffent la terre, l’eau et l’air », tandis que « le réchauffement de la planète dû à la combustion des énergies fossiles provoque un chaos climatique – des vagues de chaleur et feux de forêt aux sécheresses et aux inondations » comme en atteste d’ailleurs le graphique suivant de Our World In Data :

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