Source [Causeur] : Tel est le diagnostic sans appel du comité «Vérité et justice pour Adama»
Que s’est-il passé à Mediapart en ce jour funeste ? Un moment d’égarement ? Le permanencier de service avait-il forcé sur la coke ? Ou peut-être une taupe de la fachosphère s’était-elle glissée dans la rédaction ? Entre ces différentes hypothèses, nous ne trancherons pas. Mais le fait est que le site d’Edwy Plenel a relayé, mardi 25 juillet, une accusation selon laquelle un des membres du comité d’Assa Traoré s’était rendu coupable de violences sur deux ex-militantes!
Selon les dires de la première, le soir du 18 avril 2017, Samir Elyes, un des membres fondateurs dudit comité en serait venu aux mains lors d’une dispute. « Il m’a projetée contre la porte d’un bâtiment. Ma tête a cogné le mur. Il m’a pris par les bras et m’a traitée de “salope”, “d’ingrate”… Il a tenté de me mettre au sol mais je me suis débattue. J’ai réussi à me dégager mais Samir m’a de nouveau poursuivie», déclare-t-elle à Mediapart. Un témoignage d’autant plus problématique que la deuxième accusatrice révèle avoir été victime de violences conjugales en 2014 alors qu’elle était en « relation affective » avec lui. Après une brève mise à l’écart, Samir Elyes a été, contre toute attente, réintégré au comité, animant entre autres des journées de manifestations.
Retrouver l'intégralité de l'article en cliquant ici
- Le commerce physique n’a pas dit son dernier mot
- Et maintenant, le djihad scolaire
- «Il est où le grand remplacement?», ou comment...
- «Emmanuel, ça fait quand même onze ans que tu e...
- Turquie: l’après-Erdogan a-t-il vraiment commencé?
- Éric Zemmour: «Comment nier que le prénom puiss...
- Crocus City Hall: l’Etat islamique frappe en Ru...
- L’islamo-gauchisme de Sciences-po en passe de d...
- Va-t-on confier la mort aux bureaucrates?
- La société française ne se tient plus