Béziers, fondation de « l’Alter-système » ?*

Que de regards heureux et vigilants portés sur l’excellente initiative de Robert MENARD : réponses multiples à l'invitation à ce colloque où fourmilleront aux tables rondes de nombreux divers acteurs de la société civile. 

 
Quelle belle idée que de vouloir, à partir d’échanges de conversations utiles et de débats, recréer un « système » précurseur dans les années à venir pour gouverner et défendre les intérêts de tous les Français et les Françaises (pour lesquels la Démocratie avait été créée…).  
De grands noms s’y rendront, des moins connus également auront la parole et des personnes comme vous et moi !
Des personnalités politiques seront présentes également, mais dans le public, pour écouter, pour apprendre, afin de comprendre et pour reconnaître les idées qui jailliront comme une évidence de ces trois journées pleines et créatives. Quoi de plus normal que de tenter avec convictions et cohérence un nouveau système de fonctionnement qui nous assurerait : une légitime « souveraineté » face à une mondialisation décérébrée, intrusive et malfaisante pour notre pays ; une reconnaissance du Peuple à même de pouvoir penser, réfléchir, agir avec de meilleures idéaux que ceux du passé et par ceux qui ont mené notre Etat à la faillite depuis quarante longues années ; un bien vivre en osmose avec nos familles, notre travail, nos passions et notre équilibre intérieur ; en toute cohérence avec la nature, l’équilibre des êtres vivant sur notre planète, ce que l’on appelle parfois confusément l’écologie, qui n’est rien d’autre que la vie sur terre et notamment avec sa plus grande espèce « l’humain », qu’il puisse vivre heureux et non affamé sur ses propres terres et celles de ses ancêtres !.. Quel " grand chantier ", comme on dit aujourd’hui en politique mais Ô, que de grands espoirs !
Qui oserait renoncer en nos jours si compliqués, difficiles et si complexes, à se retrousser les manches afin de trouver et de mettre en place des solutions ?.. Notre avenir et celui de nos progénitures est tellement en jeu et notre présent si contesté par la jeunesse et par nos anciens ! Qu’il est bien temps et encore temps de faire fructifier tout un idéal avant qu’il ne soit trop tard et de subir un grand chaos, quasi insurmontable pour beaucoup d’entre-nous, à moins d’y être fortement déjà préparé comme peu de « survivalistes » (terme souvent galvaudé…).
Comme ont dit, et diraient encore certains, c’est assurément « la lutte finale », mais une lutte non guerrière, fraternelle, enjouée, car les hommes et les femmes que nous sommes avons le devoir de générer le sursaut bienfaiteur pour notre chère France que tout-un-chacun sait reconnaitre.

(* terme élégamment employé par Béatrice Bourges)".