Mercredi, le chanteur travesti Bilal Hassani devait se produire, en pleine semaine Sainte, dans une église désacralisée de Metz. Une provocation visant à faire la polémique afin de dynamiser les ventes de places pour une tournée qui peine à prendre son envol. La pression de catholiques locaux et du monde associatif a eu raison de cet événement qui a finalement été annulé.
Mardi, la veille de cette mascarade « artistique », François Billot de Lochner s’est rendu sur le plateau de Touche Pas A Mon Poste et a défendu fermement la volonté d’annuler ce spectacle provocateur et injurieux. Suscitant l’adhésion des téléspectateurs qui se sont largement dit « choqués » par l’organisation du concert, il a pu relayer la colère de millions de français, catholiques ou non. [Pour retrouver les extraits de l'émission, cliquez ici]
Le lendemain matin, le chanteur Hassani annonçait l’annulation du spectacle. S’en est suivie une litanie de pleurs des progressistes qui ont vu dans cette annulation la main de réseaux radicaux. En réalité, un collectif du nom de « Lorraine catholique » avait appelé à une simple prière de réparation…
Derrière le concert de cet individu, il est défendu une propagande progressiste et des intérêts de pornocrates comme en attestent les contenus fleurissants sur les réseaux sociaux du « chanteur ». Proche de l’ancien ministre socialiste Jack Lang, Bilal Hassani est un symbole, l’outil d’une idéologie libérale et antichrétienne, flirtant aussi parfois avec des pratiques pouvant mettre en danger les plus jeunes.
Cette mobilisation locale et le retentissement national de l’affaire ont fait plier le chanteur. Une belle nouvelle qui montre que nos combats peuvent nous permettre de remporter des batailles et qu’il s’agit d’occuper le terrain tant médiatique que de la rue.
Olivier Frèrejacques
Délégué général de Liberté Politique
- Mélenchon : la partition victimaire du joueur d...
- Absence du pape François à Notre-Dame : une bie...
- Bayrou Premier ministre, Emmanuel Macron remet...
- Requiem pour la Syrie
- Motion de censure, le bal des hypocrites
- Macron : la repentance et la France en tout petit
- Motion de censure : le crépuscule de Michel Bar...
- La pénible litanie féministe
- Alliance contrainte, alliance éphémère ?
- Les « irremplaçables », une autre facette du co...