Source [Causeur] : Les rappeurs entrent dans le jeu politique, en apportant leur soutien au front républicain avec un hymne enlevé: No Pasarán. Fulgurante créativité ! Reste que quand vos « punchlines » sont plus partagées par Bardella, Le Pen et Ciotti que par ceux que vous soutenez, c’est que vous avez peut-être raté quelque chose… Complotisme, insultes misogynes, glorification de l’ultra-violence et couplets à la limite de l’antisémitisme: les artistes des «quartiers populaires» ont fait très fort.
Proclamé le 30 juin à 20h01, le « Front Républicain contre le RN » ne cesse d’inspirer des réalisations artistiques à sa mesure ! Ainsi, le soir même de son instauration, ses militants mettaient à jour la statue de la République (voir photos ci-dessous), place du même nom, l’entourant de drapeaux algériens et palestiniens (Pardon ? Ah, non, pas de drapeaux français. Pour quoi faire ? Il est ici question de République, pas de France) et l’ornant d’inscriptions à la gloire de l’Idéal Républicain : « ACAB, PALESTINE, FUCK ISRAEL, NIK LE RN, A bas l’état et les partis, Pays de fachos pays de la honte, FREE GAZA, BRULER TOUS, NFP, ANTIFA, Mort aux Faf, NIQUE BARDELLA, NIQUE LA BAC, HERE IS PALESTINE. »
- Campagne à la découpe
- Pourquoi Sarah Knafo est-elle si peu invitée da...
- Tombera… Tombera pas?
- Boualem Sansal: ses propos sur le Sahara que l’...
- Une vague bleue
- SNCF: l’exemplaire ponctualité
- Harcèlement scolaire: ce que Gabriel Attal peut...
- Poitiers, Rennes, Marseille… la France orange m...
- L’Eglise catholique, piñata favorite de la gauche
- Doliprane: un symbole cher payé