[Source : L'AGRIF]
Alors qu’un policier est encore entre la vie et la mort et que son collègue est très grièvement blessé, avec sans doute des séquelles jusqu’à la fin de ses jours, l’embuscade de Viry-Châtillon aura constitué une nouvelle étape dans l’instauration de la guerre subversive islamique en France.
Cette fois-ci, enfin, les médias et les politiciens de la complaisance collabo n’osent plus nous parler de « loups solitaires ». La police, il est vrai, sait depuis longtemps qu’au sein de la population sans cesse grandissante de l’oumma en France progressent en proportion les milieux et les zones de la domination et de la terreur de l’islam jihâdiste.
Il n’y a plus seulement des individus dits isolés ou de tous petits groupes reliés à l’État islamique ou à al-Qaïda. Ce sont des bandes organisées de plus en plus nombreuses qui se constituent pour mener la guerre en France. Qui ne voit que l’on est de plus en plus devant l’instauration de cette guerre des « antiracistes » contre ce qu’elle appelle « les blancs », annoncée par l’islamo-gauchiste algérienne mais vivant en France et, grâce à la France, Houria Bouteldja.
La vérité, c’est que de plus en plus les émeutiers des quartiers sont les protagonistes d’une guerilla urbaine méthodiquement préparée et rejoignant l’islamo-terrorisme dans le crime.
Oui, les criminels incendiaires des deux voitures de policiers de Viry-Chatillon ont perpétré une embuscade sciemment meurtrière relevant de la guerre idéologique de l’antiracisme islamo-gauchiste prôné dans les réseaux de Nique la France.
Désormais, ces incendiaires en bandes organisées ont rejoint dans leurs visées meurtrières les terroristes de Toulouse, de Paris et de Nice. L’héroïsation-culte de Mohamed Merah dans certains quartiers de Toulouse le prouve.
Jusqu’à quand une certaine magistrature, qui absout les Houria Bouteldja et les Saïd Bouamamadans les procès en racisme antifrançais intentés par l’AGRIF, pratiquera-t-elle un tragique déni de réalité ? Les événements, de plus en plus, manifestent la vérité de ce que, pour leur honneur, les dirigeants de l’AGRIF auront exprimé, les premiers, et depuis des années : l’antiracisme n’est pas le contraire du racisme, mais un racisme en sens contraire.
Cela dit, on reste stupéfait devant le vocabulaire du ministre de l‘intérieur Cazeneuve traitant de « sauvageons » les meurtriers. Pourquoi pas de « méchants petits fripounets » ?
Non, monsieur le ministre, ce sont des terroristes, comme ceux de l’État islamique. Et qui pulluleront de plus en plus en raison de l’indigente politique de votre gouvernement (et des précédents) en matière d’immigration et d’islamisation.
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