Source [dreuz.info] Depuis le mois de mars le sort semble s’acharner sur l’Amérique. La pandémie au virus du PCC (parti communiste chinois) a provoqué la fermeture du pays durant plus de deux mois
Le retour graduel à la normale a été aussitôt entravé par la vague de protestations et d’émeutes sanglantes organisées et financées par l’extrême gauche suite au drame de Minneapolis.
Justifiée ou non la fermeture du pays a fortement endommagé l’économie américaine. Celle-ci, depuis l’entrée au pouvoir de Donald Trump, volait de record en record avec plus de sept millions de nouveaux emplois créés en trois ans, une renaissance spectaculaire de l’industrie manufacturière, une croissance annuelle avoisinant les 3%, un taux de chômage historiquement bas soit 3.4%, une participation record des minorités au marché de l’emploi, une augmentation remarquable des salaires, une progression marquée des bénéfices et des investissements des entreprises, un marché boursier bœuf et un niveau d’optimisme inégalé chez les consommateurs et les patrons.
La crise est survenue à point nommé pour les ennemis de Donald Trump. Unis par la haine et la soif de pouvoir ils digéraient mal le succès du pays. Avec une économie en excellente santé et des résultats tangibles tant sur le front intérieur qu’en politique étrangère, rien ne semblait constituer un obstacle insurmontable à la réélection du président. La pandémie a donc été reçue comme un don du ciel par les démocrates. La paralysie du pays, l’explosion du chômage, la précarité, l’incertitude et la peur du lendemain allaient irrémédiablement assombrir le bilan de Trump et causer, espérait-on, sa défaite.
Malgré sa gestion quasi exemplaire de la crise, les démocrates et les médias qui leur servent de caisse de résonnance, se sont acharnés sur lui. Rien de nouveau sur ce plan; le public blasé par trois ans d’enquêtes bidon, de procès de destitution et de propagande négative, n’a pas mordu à l’hameçon et les taux d’approbation de Trump sont demeurés au beau fixe. Mieux encore ils ont surpassé ceux d’Obama durant les mois précédant sa réélection en 2012.
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