Faut-il parler de Dieu à l’école, et si oui dans quelles matières ? Pour le moment, c’est surtout au cours de religion où il est question de Dieu, alors que le fait religieux est abordé dans d’autres matières comme l’histoire ou la littérature, les sciences sociales ou la philosophie. Une chose est claire : la transmission de la culture européenne ne peut se faire sans référence à Dieu et aux religions. Se pose alors la question de savoir sous quel angle aborder tout ce qui concerne le religieux.
UNE NEUTRALITE en la matière n’est pas possible. Chacun de nous se rappelle ses professeurs et leurs attitudes. Les uns ne rataient jamais une occasion pour attaquer la religion ou pour se moquer des croyances religieuses, les autres étaient plutôt discrets et on ne savait pas s’ils croyaient ou pratiquaient une religion, d’autres encore ne cachaient nullement leurs opinions religieuses et communiquaient librement sur ce sujet. Du côté des élèves se retrouvaient des attitudes semblables, de sorte que vouloir éliminer la religion de l’école, c’est finalement en éliminer et les professeurs et les élèves.
Après les essais du XXe siècle de vouloir donner à l’école un enseignement sans les religions, des pays comme la France ont dû se rendre compte qu’un tel programme est néfaste pour les élèves. Il néglige tout un volet de la culture et donc ne permet pas de comprendre le monde dans lequel on vit. Il a donc fallu réintroduire à l’école, sous une forme ou une autre, sinon Dieu au moins le phénomène religieux.
Les religions et le savoir sur Dieu
Mais comment le faire ? Ici il est utile de distinguer au moins deux aspects. Il y a les religions, les croyances, les valeurs et les opinions que l’on peut étudier, discuter, juger et apprécier ; et il y a le savoir sur Dieu.
Le premier aspect peut être traité dans un cours de religion ou d’opinions, de culture générale ou d’histoire des civilisations. Il s’agit d’approcher de façon critique ses propres croyances ou opinions en les confrontant aux autres aussi objectivement que cela puisse se faire en ce domaine toujours imprégné de subjectivité et d’absolu.
Pour éviter une mainmise trop idéologique, il faut proposer différents cours selon les sensibilités religieuses des élèves. Ces cours peuvent se faire à l’école ou en d’autres lieux à côté des programmes scolaires. Mais ils ne peuvent en aucun cas se réduire à un cours unique qui endoctrinerait les élèves loin de leur tradition religieuse ou philosophique.
Les valeurs ne sont jamais neutres ; elles sont toujours liées aux groupes qui les vivent et les transmettent. Dans nos sociétés plurielles ces groupes sont multiples, et leurs valeurs ne sont pas nécessairement réductibles les unes aux autres. Les respecter dans leur diversité, c’est certes les reconnaître dans leur spécificité, mais c’est aussi les mettre en dialogue entre elles. Et ceci ne peut pas se faire sérieusement dans un cours unique, confié à un seul titulaire. Une éducation en vue de la paix et de la solidarité doit initier au dialogue dans le respect critique de la diversité des valeurs en présence.
Si l’école accueille des jeunes de diverses cultures et religions, elle ne peut pas proposer un seul et unique cours d’instruction religieuse et morale. Elle doit tenir compte de la diversité, tout en stimulant l’échange et le dialogue réciproque.
Reste le second aspect : celui de parler non plus des valeurs ou des religions, mais bien de Dieu lui-même.
La question de Dieu lui-même
Depuis le développement moderne de la rationalité, toutes les sciences ouvrent sur la réalité de Dieu, aussi bien la logique et les mathématiques que les sciences physiques, cosmologiques, biologiques, neurologiques et cognitives… Copernic, Galilée, Newton, Leibniz, Pasteur, Mendel, Einstein, Lemaître, Whitehead, Gödel, Eccles… tous les grands scientifiques modernes ont rencontré et traité la question de Dieu.
Certes, il y a aussi ceux, moins connus, qui oublient Dieu ou même qui nient son existence, mais un questionnement logique conséquent fait à chaque fois réapparaître Dieu à l’horizon de la réflexion scientifique.
Récemment, le grand public fut informé au sujet de la démonstration de l’existence de Dieu telle qu’elle avait été élaborée vers 1970 par le logicien Kurt Gödel[1]. On sait que Gödel a longtemps travaillé sur son argumentation logique avant de la communiquer à ses amis. Depuis une décennie, cette démonstration réapparaît dans de nombreux travaux logiques, et deux logiciens allemands l’ont vérifiée grâce à leur ordinateur. Conclusion : la démonstration du génial logicien Gödel est correcte.
Une démarche scientifique
L’attitude de méfiance envers tout ce qui concerne Dieu fait resurgir la critique classique que Dieu relèverait exclusivement de la croyance, peu importe les démonstrations[2]. C’est là une attitude largement partagée, mais non pas justifiée logiquement, comme le montre de façon convaincante Lorenz B. Puntel dans ses livres magistraux Struktur und Sein et Sein und Gott[3].
Une théorie générale systématique de l’être ne peut pas ignorer Dieu. Dans sa Réponse à Stephen Hawking[4], le physicien Wolfgang Smith montre lui aussi qu’une attitude athée ne peut être une conclusion des sciences cosmologiques.
Les recherches récentes en théologie naturelle se sont donné comme objectif de revisiter tous les domaines scientifiques pour voir comment y apparaît la question de l’existence de Dieu[5].
Que Dieu existe, semble de nos jours plus probable que sa non-existence. Ainsi le fameux défenseur de l’athéisme classique, Antony Flew, a montré dans son dernier livre[6] que vu les arguments scientifiques récents, il ne faut plus dire que Dieu n’est pas, mais plutôt que Dieu est. D’où le titre de son étude « There is no a God » : le « no » est barré et remplacé par « a ».
A-t-il raison comme le croient bon nombre de scientifiques contemporains ? Si oui, que faut-il en conclure pour la question de Dieu à l’école ?
Ici nous ne sommes plus dans le domaine des valeurs ou des croyances qui à la limite pourraient quitter une école qui se donne comme objectif d’enseigner le savoir. La question de Dieu se traite aujourd’hui de plus en plus dans le domaine scientifique proprement dit. L’ignorer ou ne pas en parler à l’école, ce n’est certainement pas rendre des services aux générations futures.
P. Jean-Jacques Flammang scj
Sur ce sujet :
Notre colloque "Les libertés éducatives", Nantes, ce 5 octobre 2013
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[1] cf. Tobias Hüter : Formel von Kurt Gödel. Mathematiker bestätigen Gottesbeweis. Spiegel On-lin Wissenschaft. http://www.spiegel.de/wissenschaft/mensch/formel-von-kurt-goedel-mathematiker-bestaetigen-gottesbeweis-a-920455.html
[2] cf. Tobias Hürter : « Auch wenn seine (= Gottes) Existenz tausendmal bewiesen würde : Gott bleibt Glaubenssache. » Cela n’est juste qu’en partie, car même si notre foi en Dieu est essentielle, l’existence de Dieu ne dépend pas de notre foi en Lui. Et donc Dieu n’est pas seulement une affaire de croyance ou de foi.
[3] Lorenz B. Puntel : Struktur und Sein. Ein Theorierahmen für eine systematische Philosophie. Tübingen, Mohr Siebeck, 2006, 687 pages. ISBN 987- 3-16-148964-0 et Sein und Gott. Ein systematischer Ansatz in Auseinandersetzung mit M. Heidegger, E. Lévinas und J.-L. Marion, Tübingen, Mohr Siebeck, 2010, 444 pages. ISBN 978-3-16-150146-3.
[4] Wolfgang Smith : Réponse à Stephen Hawking. De la physique à la science-fiction. Préface de Jean-Jacques Flammang. Traduit de l’anglais par Ghislain Chetan (Métaphysique au quotidien), Paris, L’Harmattan, 2013, 95 pages. ISBN : 978-2-434-00466-2.
[5] cf. The Blackwell Companion to Natural Theology, edited by William Lane Craig and J.P. Moreland. Oxford, Blackwell Publishing Ltd, 2012, 683 pages. ISBN 978-1-444-35085-2.
[6] Cf. Antony Flew with Roy Abraham Varghese : There is a God. How the world’s most notorious atheist changed his mind, Harper Collins, 2008, 222 pages. ISBN 978-0-06-133530-3. Il importe peu qui a finalement écrit ce livre, Varghese ou Flew. Ce qui importe ce sont les arguments qui y sont avancés et auxquels souscrit Antony Flew.
l'enseignement rejette bien sûr la création,
Voir le commentaire en entierles attributs de Dieu
la fidélité de Dieu : elle est une réalité éternelle, la miséricorde (il est miséricordieux) il est bon envers ceux qui souffrent
Dieu se penche sur la souffrance des hommes, la bible affirme que Dieu n'est pas indifférent à la souffrance des hommes, Dieu est amour, le don de son fils Jésus, est l'un des actes par lequel s’exprime la miséricorde
le but de Dieu c'est de détruire les œuvres du diable
c'est pour cela que Jésus est venu pour vaincre celui qui avait la puissance de la mort, et détruire ses oeuvres
s'il est malade souffrance physiques, ou spirituelle, ou morale, il reçois la guérison, dans ces meurtrissures nous avons la guérison, lorsqu'un homme se tourne vers Dieu par la FOI, il reçois une réponse s'il est affligé par le péché, il reçois le pardon toujours en Jésus Christ, s'il est lié par quelques passions mauvaises, la délivrance est dans le sacrifice expiatoire de Jésus, s'il à des problèmes, Dieu qui est au dessus de toutes choses peut apporter des réponses
Dieu fait des promesses, et il les tient ! Dieu se trouve dans l'incapacité de se renier lui-même Dieu est celui qui ne change, sa parole ne change pas !
Il nous faut insister sur la miséricorde de Dieu envers les hommes; bien souvent c'est un sujet de blasphème pour certains Chrétiens, croyants: mais pourquoi ceci, cela
Dieu est ému de compassion, Dieu ne veut pas la mort du pécheur, c'est pourquoi Dieu use de patience Dieu retarde au maximum la manifestation de ces jugements, cette patience est un appel de la grâce de
2 Pierre 3:9 Le Seigneur ne tarde pas dans l’accomplissement de la promesse, comme quelques-uns le croient ; mais il use de patience envers vous, ne voulant pas qu’aucun périsse, mais voulant que tous arrivent à la repentance.
2 Pierre 3:15 Croyez que la patience de notre Seigneur est votre salut, comme notre bien-aimé frère Paul vous l’a aussi écrit, selon la sagesse qui lui a été donnée.
Romains 2:4 Ou méprises-tu les richesses de sa bonté, de sa patience et de sa longanimité, ne reconnaissant pas que la bonté de Dieu te pousse à la repentance ?
les attributs : la bonté de Dieu, jean dit que Dieu est amour (sa nature est d'aimer) Dieu est amour, il l'est éternellement, de toute l'éternité Dieu cherche à se donner, l'amour n'a de réalité que quand elle est en action, cet élan ce concrétise par un don de soit, dépourvu de calcul, d’hypocrisie, un oublie de soit même pour les autres
Mais Dieu est parfait par nature,le plus bel acte d'amour est celui du don de son fils, un amour total et illimité
l'Islam nie cet amour de Dieu envers les hommes, l'Islam n'est pas une religion d'amour
Dieu est éternellement amour, alors comment comprendre cet affirmation que Dieu est amour, éternellement amour ?
la solution est UNIQUE: c'est la trinité, Dieu avant la création des anges
Dieu avant la création du monde n'était pas seul !
évangile de jean 1, nous dit que la parole qui était au commencement, que la parole s'est faites chair, et cette parole était Jésus
(le fils est éternel comme le Père est éternel, de toute éternité le fils était auprès du père !)
il était l'objet éternel de son amour, il y avait un dialogue à l'intérieur de la divinité entre le père et le fils)
Proverbes 8:30 J’étais à l’œuvre auprès de lui, Et je faisais tous les jours ses délices, Jouant sans cesse en sa présence, c'est parce qu'il y à cette trinité, à l'intérieur de la divinité, il n'y à pas de plus grand amour dans l'univers que celui qui uni le fils avec le Père
Dieu pouvait ne pas créer l'homme !
mais il est écrit "Dieu dit faisons l'homme à notre image, à notre ressemblance, Dieu le père en accord parfait avec le fils "faisons l'homme à notre image, à notre ressemblance" Dieu à éprouvé le besoin en accord avec le fils de créer l'homme, la création est un acte d'amour
la nature n'enseigne pas ces choses, ni les manuels scolaires !
dans les 2 chapitres de la Genèse on voit Dieu à l'oeuvre, qui prépare la terre pour accueillir sa création
le mot "rédemption" n’apparaît pas dans les manuels scolaires
Romains 5:8 Mais Dieu prouve son amour envers nous, en ce que, lorsque nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous.
l'Islam proclame que Dieu n'a pas de fils (au sens biologique du terme)
en quoi Jésus est il le fils ? il est éternellement engendré
le don de ce fils qui est l’expression de son amour, quand Dieu à dit "faisons l'homme à notre image"
est bien la CROIX était déjà là, il y avait déjà le don de Jésus Christ, ordonné par Dieu est accepte par le fils
faisons l'homme à notre image il y avait cet acceptation du fils de mourir comme un agneau
l'agneau était déjà là, prévu
Apocalypse 13:8 Et tous les habitants de la terre l’adoreront, ceux dont le nom n’a pas été écrit dès la fondation du monde dans le livre de vie de l’agneau qui a été immolé
le fils parmi les hommes, dans son incarnation il se dépouille d'une partie de ses attributs là, jésus dans sa nature partageait tout avec le père, revêtant une forme humaine, il devient vulnérable, il devient limité, comme tout les hommes, il devient celui que les hommes ont mépriser (homme de douleur, et habitué à la souffrance etc....) il devient vulnérable à la mort, il devient vulnérable à la tentation
comprenons le risque que Dieu à pris en envoyant sont fils unique, jésus le fils était vulnérable à la tentation,
dans le ciel il ne pouvait pas être tenté ! mais parmi les hommes Jésus était soumis aux tentations, aux hommes
Si au jardin de Géthsemané Jésus avait refuser de boire la coupe
Satan serait toujours vainceur,
Jésus aurait était séparé du Père
il y aurait eu division de la divinité
le monde serait déjà détruit !
Satan serait maître de la terre
ce serait le suicide de Dieu
comment le père sans le fils ?
Jésus avait dit "non pas ce que je veux, mais ce que tu veux"
imaginez ce qui se serait passé dans l'univers ?
Dieu à livré son fils unique
alors si vous ne comprenez pas ce verset
Romains 5:8 Mais Dieu prouve son amour envers nous, en ce que, lorsque nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous
Rien ne pourra nous séparer de l'amour de Dieu qui à était manifeste en jésus CHRIST
Dieu n'était pas obligé de nous sauver, Dieu n'a pas épargné les anges qui ont pécher
Jean résume tout son évangile dans cette parole "Dieu est amour"
Dieu aime tous les hommes sans distinction, ni couleur ni race
mais il y à des conditions "repentez-vous toi, purifiez-vous, persévérez, sanctifiez vous"
Même si Satan est déchaîne, Dieu protège ses créatures, Dieu veut notre bien
Dieu châtie ceux que l'aime, comme un père
Ce que les hommes ont en fait de ce Dieu d'amour, de bonté
l'amour est défigurer caricaturé, devenu bestial, charnel
Dieu veille et garde ceux qui sont à lui
Luc 12:7 Et même les cheveux de votre tête sont tous comptés. Ne craignez donc point : vous valez plus que beaucoup de passereaux.
dieu n'est pas le bon dieu
mais DIEU est BON
il n'est pas responsable du mal, ni du malheur des hommes, Dieu ne veut pas le mal
peut de gens sont conscient de cela, cette génération souffrante
il n'est pas la cause de la maladie, de la mort Physique
Dieu prends plaisir de nous bénir, Dieu à plaisir à nous donner de bonnes choses
que Dieu vous bénisse !