Source [Causeur] Alors que Joe Biden inquiète de nouveau sur le plan cognitif, Donald Trump, plus fringant, multiplie les petites allusions à un éventuel retour en 2024. Dans l’immédiat, il va déposer plainte auprès d’un tribunal de Floride contre la censure « anticonstitutionnelle » des principaux Big Tech: Facebook, Twitter et Google.
Un mot sur Joe Biden, pour commencer. Interrogé récemment sur les récentes cyberattaques visant 200 entreprises américaines, supposées émaner de la Russie, Joe Biden s’est comporté extrêmement bizarrement. Interrogé par la presse, il a d’abord mentionné qu’il répondrait à la question « lorsqu’il serait dans un meilleur état ». Puis, il a sorti un document de sa poche, expliquant : « Je vais vous dire ce qu’ils m’ont envoyé ». Il s’est alors mis à lire la réponse figurant sur sa feuille : « Premièrement, nous ne savons pas avec certitude qui sont les responsables. Ensuite, les services responsables s’en chargent… » La séquence fait les choux gras des commentateurs politiques de Fox News qui se demandent qui est réellement « en charge » de la présidence des États-Unis. Comment leur reprocher ?
Le commentateur libertarien et amuseur anti-woke David Rubin estime, lui, que le vrai scandale tient au fait que les principaux médias mainstream ne parlent pas de ces absences cognitives à répétition du président, qui étaient pourtant déjà présentes tout au long de la campagne présidentielle, préférant s’attarder à médiatiser des âneries sans intérêt, comme cet épisode où le président américain s’achète une coupe de glace, une séquence hilarante à La Crosse dans le Wisconsin (à partir de la 4e minute)…
À la lumière de tout ceci, il est de plus en plus probable que Joe Biden ne briguera pas un deuxième mandat, voire qu’il n’ira même pas au terme de son mandat actuel. En cas d’impeachment pour raison mentale, c’est Kamala Harris qui deviendrait présidente des États-Unis. Si elle remplit toutes les cases de l’idéologie woke qui règne actuellement aux États-Unis (femme de couleur, progressiste, etc.), elle pourrait mener une politique encore plus à gauche. Les conservateurs devraient donc plutôt prier pour que Biden reste aux affaires le plus longtemps possible, même s’ils ont des inquiétudes quant à savoir qui dirige réellement le pays.
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