Source [Huffingtonpost] Durer pour faire plier le gouvernement mais risquer de perdre le soutien populaire. Pour les syndicats, le dilemme du "décembre noir" est posé.
C’est acté, la journée s’annonce noire. Le jeudi 5 décembre sera très très compliqué dans les transports. Cette date n’a pas été choisie au hasard par les organisations syndicales, puisqu’elle se déroule 24 ans jour pour jour après le grand mouvement de 1995 contre la réforme Juppé dans laquelle il était déjà question d’aligner les régimes spéciaux de retraites sur le régime général. À l’époque, la puissante mobilisation avait duré trois semaines. Un tel scénario est-il possible dans la configuration actuelle? Pour certains usagers qui souhaiteraient prendre des billets de train à Noël, des inquiétudes commencent à poindre…
Dans leur communiqué unitaire, CGT, UNSA et Sud-Rail annoncent que le préavis sera reconductible toutes les 24 heures, ce qui suppose l’organisation d’une assemblée générale pour décider chaque jour de la suite du mouvement. Contrairement à la grève dite perlée du printemps 2018 qui permettait dans une certaine mesure de s’organiser à l’avance, les 24 heures reconductibles laissent moins de marges d’anticipation aux usagers.
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