pas non plus en quoi les hommes d'Eglise pourraient s'inquiéter des raisonnements d'une discipline qui les aide à comprendre le réel et ses contraintes, leur permettant ainsi de rendre plus crédibles leurs exigences morales et de mieux les incarner.

 

 

 

Il est clair en tout cas, à lire Jean-Paul II, en particulier dans Centesimus annus, que le Magistère, pour sa part, n'a pas craint d'intégrer l'apport de la science économique à sa propre réflexion : Centesimus annus fourmille de références implicites aux enseignements de la science économique, pour illustrer et soutenir les implications d'éthique sociale de son message spirituel.