
Source [Boulevard Voltaire] : En France, de quand date le début de la grande dégringolade vestimentaire qui nous amène aujourd’hui au « venez comme vous êtes » à l’Assemblée nationale et au déboulé d’Insoumises cravatées de guingois ?
Difficile à dire. On pourra, bien évidemment, évoquer la Révolution française et ses sans-culottes. Cela dit, l’idole de Mélenchon, Maximilien de Robespierre, était tiré à quatre épingles et n’abandonna le jabot que pour passer sous le couteau de la guillotine.
Lorsque la République bourgeoise finit par s’imposer à la fin du XIXe siècle, elle se coula sans trop de difficultés dans les habits que la monarchie avait laissés au vestiaire dans la précipitation de son départ de France. Certes, elle faisait un peu endimanchée, comme pour aller à un banquet, mais, globalement, la République ne faisait pas trop honte au bon peuple lorsqu’elle se frottait « à l’international », c’est-à-dire à l’époque en Europe, aux monarchies qui tenaient encore le haut du pavé. Imaginez qu’au début de la Ve République, les appariteurs ministériels portaient encore les culottes à la française pour les grandes occasions !
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