Source [Marianne] : Nationalisation, piège à c… La prise de contrôle total de l’électricien historique par l’État pourrait être le préalable à des restructurations, voire à des ventes d’actifs au privé. Mettre la main sur un groupe pour mieux le céder ? Allez comprendre…
Le CV de Luc Rémont, que l’Élysée a choisi pour être le futur patron d’EDF, parle pour lui-même : avant d’avoir été directeur général de Schneider Electric, ce polytechnicien de 53 ans a passé sept ans chez Bank of America Merrill Lynch, dirigeant l’entité française qui conseillait Alstom lors de la vente controversée de ses actifs énergie à l’américain General Electric. Il a aussi travaillé pour de nombreux ministres de l’Économie à Bercy, notamment Hervé Gaymard (dont la femme Clara est l’ex-patronne de General Electric France), puis Thierry Breton, pour lequel il s’est occupé de la fusion de Suez avec Gaz de France, signant la privatisation du groupe public. À l’époque, Bruno Le Maire était le directeur de cabinet de Dominique de Villepin à Matignon. Un petit monde.
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