«Le Figaro» publie une lettre ouverte de chercheurs qui durcissent le ton pour demander une investigation fouillée, «si possible avec la participation du gouvernement chinois».
Le 12 juin 2021, le directeur général de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, a déclaré que les familles des millions de personnes qui sont mortes du COVID-19 «méritent de savoir quelle est l'origine de ce virus, afin que nous puissions éviter que cela ne se reproduise». En accord avec ce souhait, les dirigeants du G7 ont publié le lendemain une déclaration commune appelant à «une étude de phase 2 sur les origines de la COVID-19, qui soit transparente, établie dans un délai raisonnable, dirigée par des experts, fondée sur la science, convoquée par l'OMS et également menée, comme le recommande le rapport des experts, en Chine».
En tant que scientifiques et médiateurs scientifiques ayant demandé une enquête complète sur les origines de la pandémie dans trois lettres ouvertes, publiées cette année (n°1, n°2 et n°3), nous nous félicitons de ces déclarations et demandons à nouveau une enquête scientifique complète sur toutes les hypothèses d'origine plausibles, dotée d'un accès illimité à tous les dossiers, échantillons et personnels pertinents en Chine, et ailleurs si nécessaire.
« Tous les peuples et toutes les nations, y compris la Chine, ont un intérêt direct à ce que l'origine de la pandémie soit identifiée et que nos plus grandes vulnérabilités soient traitées. »
Retrouvez l'intégralité de l'article en cliquant ici
- Guerre en Ukraine : la Russie étend son offensi...
- «Une provocation» : le premier ministre grec ex...
- Derrière les manifestations pro-Palestine à l’u...
- Guerre en Ukraine : la situation s'est «détério...
- Boeing, le nouveau cauchemar des compagnies aér...
- «Sanctuariser l’école»: comment aller plus loin...
- Conférence de Mélenchon sur la Palestine: l'uni...
- Après l’attaque iranienne contre Israël, les tr...
- Fin de vie: les dangers d'un texte flou qui ref...
- Mathieu Bock-Côté: «Deux visions de la civilisa...