Immigration : La France est à bout de souffle, et se laisse mourir

Source [Riposte Laïque]  “Si nous ne changeons pas radicalement de méthode pour mettre un terme au déclin déjà bien amorcé de notre société, l’avenir s’annonce obscur”.

Ainsi s’exprimait déjà en 2005 la commissaire Pellegrini, ancien chef de l’ORCB, dans son livre “Banlieues en flammes”, écrit après les émeutes de la même année.

Un livre courageux, qui énonçait clairement ce que le pouvoir et les médias dissimulent depuis trente ans, à savoir le lien incontestable entre immigration et insécurité, ainsi que les ravages de l’islamisme dans les banlieues.

Treize ans plus tard, non seulement la violence a explosé, rendant des pans entiers du territoire particulièrement dangereux, non seulement le salafisme a tissé sa toile dans tout le pays, mais le discours angélique et les remèdes proposés restent inchangés.

C’est une véritable culture de l’échec. Plus ça s’aggrave et plus on garde le cap.

Politique de la ville avec rénovations de cages d’escaliers et d’ascenseurs, emplois aidés aux “grands frères”, subventions en tout genre, des milliards engloutis à fonds perdus.

A peine rénovés, les locaux sont vandalisés.

“Changer le contenant n’a jamais amélioré la qualité du contenu”, nous dit Pellegrini.

L’intégration est un fiasco. Dans les cités, s’intégrer, c’est se renier, c’est trahir ses origines. Ce ne sont pas les immeubles qu’il faudrait rénover, mais les esprits.

Et tout empire, car c’est un remplacement de population qui s’opère peu à peu.

Avec des taux de fécondité plus du double de celui des natives, les femmes immigrées assurent une bonne part des naissances françaises.

“En 2004, les populations maghrébine, africaine et turque, représentaient 9% de la population mais assuraient 16% des naissances”.

En 2018, avec 10 millions d’immigrés extra-européens, les femmes immigrées fournissent 20% à 25% des naissances. L’avenir s’annonce tragique.

En 2004, on dénombrait déjà 615 quartiers difficiles dont 150 très difficiles. On en compte le double aujourd’hui.

Ceux où les taxis ne s’aventurent jamais, où livreurs et médecins  vont à reculons ou refusent tout simplement d’y aller, où les pompiers se font caillasser, et où les forces de police ne peuvent pénétrer qu’en force, avec des légions de robocops.

Dans ces cités de non droit, c’est la loi des caïds et le règne de la peur. Car l’impunité est totale. Les bandes se partagent les trafics et s’affrontent.

Pellegrini cite ce jeune de 16 ans qui avait commis 350 vols avec violence en trois mois !

“5% des jeunes délinquants commettent 50% des petits délits, 80% des délits grave et 95% des trafics.”

Toutes ces cités qui avaient accueilli les immigrés italiens, espagnols et portugais, toutes ces villes qui vivaient tranquilles et en sécurité, sont devenues un enfer pour les Européens, lesquels ont préféré quitter les lieux.

Un regard, une réflexion et c’est l’incident qui dégénère et peut très mal finir.

Les femmes y ont perdu tous leurs droits et leur liberté. L’islam fait des ravages dans les esprits formatés par les barbus, qui distillent savamment chez les jeunes la haine de la France et de tout ce qui représente la République.

Depuis 1960, la criminalité a quintuplé, passant de 734 000 crimes à près de 4 millions aujourd’hui.

Mais les chiffres sont manipulés. Depuis 15 ans, on reste sous la barre des 4 mls.

“Entre la main courante et la saisie statistique de l’infraction, la déperdition est immense.” Une étude de l’IHESI montre que sur 10 plaintes, une seule entre dans les statistiques de la police.

On refuse toujours de faire le lien entre immigration et insécurité.

Mais les synthèses de la Direction centrale de sécurité publique (DCSP) et de la Direction centrale de la police judiciaire (DCPJ) sont sans appel.

60 à 70% des délinquants sont issus de l’immigration.

Le racisme anti-Blancs se banalise. Agresser les jeunes Blancs est un passe-temps.

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