Source [Causeur] : On savait la prestigieuse école déjà minée par les thèses à la mode du wokisme, du néoféminisme ou de la théorie du genre… L’opinion, qui découvre avec effroi ce matin qu’une salle a été bloquée mardi par des militants propalestiniens, et que des propos « inqualifiables » (selon Emmanuel Macron) ont été tenus à l’encontre d’une étudiante de l’UEJF, attend des sanctions. L’extrême gauche minimise les incidents.
À Sciences-po Paris, l’antisémitisme se porte décomplexé, la cause palestinienne permettant visiblement que s’exprime librement la haine des Juifs. C’est ainsi que, soi-disant pour attirer l’attention sur Gaza, le principal amphi de l’école a été occupé par des associations d’extrême-gauche propalestiniennes mardi 12 mars. Cela n’a rien changé à la situation sur place, mais a permis d’ajouter de nouveaux actes antisémites à ceux qui se sont multipliés dans notre pays. À Sciences-po, c’est notamment une étudiante qui a été empêchée d’entrer dans l’amphithéâtre parce que Juive et une association juive qui a été verbalement attaquée.
- SNCF: l’exemplaire ponctualité
- Harcèlement scolaire: ce que Gabriel Attal peut...
- Poitiers, Rennes, Marseille… la France orange m...
- L’Eglise catholique, piñata favorite de la gauche
- Doliprane: un symbole cher payé
- Responsables, mais plus coupables
- OQTF, un feuilleton français
- Attal / Borne: petit arrangement en lousdé
- Après Philippine, elles ne veulent plus sortir...
- Heureux qui comme Du Bellay repose à Notre-Dame