Source [Marianne] : On peut débattre de tout… et surtout des chiffres. Au point que certains enjeux sont brouillés par des querelles de nombres. Le démêler suppose de s'intéresser à l'origine de ces statistiques.
L’argument massue des détracteurs de l’atome tient en deux noms : Tchernobyl et Fukushima. Ces accidents sont brandis pour justifier l’hostilité à cette source d’énergie, présentée comme un danger mortel pour les sociétés humaines. Ce lobbying intensif semble porter ses fruits : en janvier, 46 % des Français interrogés par l’Ifop à la demande de l’association Sortir du nucléaire répondaient s’inquiéter « beaucoup » ou « énormément » de la production d’énergie nucléaire. Le discours de ces contempteurs n’y est sans doute pas étranger, les articles de Greenpeace étant pour le moins anxiogènes.
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