[Source : Les observateurs.ch]
George Soros et d'autres riches gauchistes qui ont dépensé des dizaines de millions de dollars pour tenter de faire élire Hillary Clinton se rassemblent à Washington pour une réunion de trois jours à huis clos en vue de mobiliser les riches gauchistes dans la lutte contre Donald Trump (extraits adaptés ; voir liens vers sources en bas de page).
La conférence, qui a débuté dimanche soir au luxueux hôtel Mandarin Oriental de Washington, est parrainée par l'influent club des donateurs de la Democracy Alliance, avec la participation des dirigeants de la plupart des syndicats et groupes libéraux, ainsi que des chouchous de la gauche tels que la leader du Parti démocrate à la Chambre, Nancy Pelosi, la Sénatrice Elizabeth Warren et le co-président du caucus des progressistes du Congrès, Keith Ellison.
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Cette conférence est le premier grand rassemblement de la gauche institutionnelle depuis la victoire de Trump et, vu son ordre du jour, les gauchistes planifient une guerre de tranchée totale contre Trump dès le premier jour. En clair, ses sessions visent à contrecarrer le programme des '100 premiers jours' du Président élu Trump (fin des extraits adaptés ; voir liens vers sources en bas de page).
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Georges Soros se considérant lui-même comme un « chef d’État sans État », son intérêt pour les médias comme outil métapolitique n’est pas nouveau, il remonte même à sa prime jeunesse (extraits adaptés ; voir liens vers sources en bas de page). Selon l’un de ses biographes, le journaliste du New York Times Michael T. Kaufman, auteur de « Soros: The Life and Times of a Messianic Billionaire », Georges Soros a toujours été fasciné par le journalisme et les médias. Jeune homme, ses centres d’intérêts principaux étaient principalement « l’histoire, le journalisme et certaines formes d’écriture ». Encore étudiant, il a ainsi été le rédacteur en chef, l’éditeur et le vendeur de son propre journal le « Lupa News » dans sa Hongrie natale.
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Jamais il ne se départira de cet intérêt pour le journalisme et sa capacité d’influence sur les sociétés. Dans les années 80, il appuiera ainsi les libéraux d’Europe de l’Est en faisant parvenir des photocopieuses aux cercles d’étudiants dissidents grâce à son « Open Society Foundations » (à l’époque « Open Society Institute »). Matériel leur permettant la publication de journaux clandestins et de samizdats grâce auxquels ils purent influer sur l’opinion publique des régimes communistes finissants.
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Il financera ainsi des fondations et des associations dans toute l’Europe centrale dans le but de former des étudiants et de leur permettre de faire de l’agitation idéologique dans les universités comme dans la société civile afin de diffuser une autre information que celle de l’État et du parti communiste. En leur distribuant des bourses pour leur formation il s’assurera une influence majeure auprès des élites libérales une fois ces étudiants en poste après la chute du communisme.
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À l’heure du numérique et de l’information en temps réel, sa méthodologie est restée la même mais adaptée aux outils de communication contemporains. Cela à une échelle bien plus vaste qu’au temps des régimes communistes. Régimes qui étaient devenus après 1945 des régimes nationaux-communistes et donc des adversaires de l’idéal politique de George Soros : une société planétaire intégrée, régie par la finance et par une société civile mondiale sans États.
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Pour appréhender l’influence que Georges Soros exerce sur le paysage médiatique américain, il faut sonder autant le champ des médias de masse que celui d’internet et des médias réticulaires qui foisonnent sur la toile mondiale. L’un des objectifs de la stratégie média de l’Open Society étant justement la formation et le soutien d’une myriade de journalistes présentés comme indépendants et aptes à créer un réseau d’influence médiatique informel partout où cela est nécessaire politiquement. À un niveau local certains journalistes de ces groupes étant même inconscients de leur rôle réel en tant que maillon d’une vaste chaîne transnational de relais d’influence.
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Non content d’avoir appuyé le parti démocrate puis la candidate Hillary Clinton pour au moins 25 millions de dollars au cours des dernières années, George Soros a surtout injecté plus de 100 millions de dollars entre 2000 et 2014 dans des groupes médiatiques proches du parti démocrate, de son agenda et de ses objectifs politiques. Ces sommes sont à mettre en perspective avec la fortune personnelle de Soros estimée à 24 milliards de dollars selon le classement Forbes.
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Le seul budget officiel de l’Open Society Foundation pour l’année 2016 est de plus de 930 millions de dollars. Ses dépenses totales depuis sa création sont estimées à plus de 13 milliards de dollars pour ses 33 années d’activité. George Soros a aussi directement aidé des centaines de médias, d’associations, d’écoles de journalisme aux États-Unis et à l’étranger avec des dons allant de 5000 $ à 32 millions de dollars. Comme nous le verrons plus bas, certains de ces groupes comme « New America Media » ou le « Media Development Investment Fund » sont ainsi eux-mêmes constitués de centaines d’autres médias plus petits qui n’existeraient pas sans Soros.
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Sur ces 103 millions investis dans les médias libéraux-libertaires, 61 millions financent neuf groupes médiatiques qui ont soutenu directement la candidate Hillary Clinton. Voyons de plus près certains médias du camp démocrate que finance George Soros (fin des extraits adaptés ; voir liens vers sources en bas de page).
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Introduction, adaptation et mise en page de Michel Garroté
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http://www.politico.com/story/2016/11/democrats-soros-trump-231313
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http://www.breizh-info.com/2016/11/20/53217/dossier-linfluence-de-georges-soros-medias-americains
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A voir et revoir, ce terrible document :
https://www.kla.tv/index.php?a=showlanguage&lang=fr&id=8865
Soutenons vigoureusement SOROS et ses média.
Ils auront fort à faire pour contrer durant 4 ans toutes les nuisances que le Pig Trump entend développer durant ce mandat, avec ses vulgarités hors pairs, ses grossièretés, incompétences et inculture garanties, et la répugnance que son faciès de balourd à l'esprit borné inspire au monde. ..... Fiat lux