Source [Valeurs actuelles] : Ou comment le Parquet national financier, après avoir multiplié les raids judiciaires contre la droite, fait mine de s'attaquer à la Macronie. Une mascarade en trois actes.
Il est des hasards du calendrier qui ne manquent pas de faire désordre. Le 24 novembre, dans un communiqué qui devait moins au souci de transparence qu’à la volonté de ne pas perdre son dernier crédit, Jean-François Bohnert, procureur de la République financier, laissait entendre qu’après une première enquête préliminaire ouverte le 31 mars 2022 pour “blanchiment aggravé de fraude fiscale aggravée” à l’encontre de McKinsey, le Parquet national financier (PNF) avait élargi ses investigations et s’intéressait désormais aux comptes de campagne d’Emmanuel Macron et aux conditions d’attribution de nombre de marchés publics à des cabinets de conseil. Deux informations judiciaires étaient ouvertes, le 20 et le 21 octobre, confirmant les informations parues dans le Parisien . De quoi faire trembler l’Élysée ?
Certains se sont empressés de le croire. Pourtant, le soir même de ce 24 novembre, comme devait le rapporter le site Politico, c’est un Jean-François Bohnert, cravaté et parfumé, qui promenait son élégante silhouette dans la salle des fêtes de l’Élysée parmi la centaine d’invités rassemblés pour le pot de départ de plusieurs ex-collaborateurs du président de la République.
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