Source [Breizh-Info] : Le migrant syrien qui a tenté d’assassiner des enfants dans un parc d’Annecy, serait un chrétien d’Orient, nous dit-on. La satisfaction des médias officiels à affirmer la chose fut totale. “Il brandissait son couteau ensanglanté en criant “pour Jésus-Christ“” ! Quel soulagement ! Leur joie d‘avoir évité de devoir relayer l’énième attentat terroriste au nom d’Allah était nettement perceptible.
Or, ne s’agit-il pas clairement d’une émulation des crimes et attentats islamiques perpétués depuis des décennies sur notre sol ? Combien d’attentats chrétiens y’a t’il eu depuis 50 ans, en France ? Depuis 100 ans ? 200 ans ? Les noms des kamikazes chrétiens ? Ne cherchez pas, rien ne vous viendra à l’esprit, car il n’y en a pas. Mais passons, le fond du problème n’est pas là. Ou plutôt, n’est pas vraiment là.
Car dans le cas de tous ces “déséquilibrés” qui posent leurs bombes, nous écrasent sur les marchés de Noël, nous coupent la gorge et nous chassent comme des lapins dans la rue, l’Islam agit très souvent comme un étendard identitaire. Évidemment, ils auraient été bouddhistes, on aurait probablement été mieux lotis ! Le caractère belliqueux de la religion de Mahomet, prophète, mais aussi grand chef de guerre n’étant pas en rien dans l’affaire qui nous occupe : elle attise encore leur l’agressivité, la légitime, la justifie.
Or, il faut admettre que la religion est un prétexte, un cri de ralliement, une revendication qui met un nom sur le ressentiment que ces perdants nourrissent contre la France et l’Occident en général. Le moteur de leur action, c’est la volonté de nous nuire, la haine de ce que nous sommes. La religion n’entre pas en jeu, mais la vengeance. C’est cela, et non Jésus, Saint Paul ou Sainte Jeanne d’Arc qui a mu Abdelmasih H. Il n’a rien fait d’autre qu’imiter les Mohammed Merah, Salah Abdeslam, Amedy Coulibaly, Abdoullakh Anzorov etc etc (la liste est longue). Maghrébins, Africains, Tchétchènes et maintenant Syrien, qui n’ont pas voulu ou n’ont pas su s’assimiler. Qui ne veulent pas faire partie du peuple de France ou de Suède, car leur identité, c’est d’être différents de nous. C’est ce qu’ils crient, suent, chantent malgré le déni de nos bons Samaritains : ils ne veulent pas de cet Occident malade qui n’a rien à leur proposer que le consumérisme, les délires du progressisme et le vide spirituel.
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